Post-divorce – épisode 14

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Post-divorce – épisode 14
Chapitre 14

C’est le téléphone qui me réveille. On est dimanche et il est 15h.
– Bonjour ma chérie, dit Jamal de son ton de faux cul suave.
– Bordel mais qu’est-ce que vous m’avez fait ?
– J’ai la vidéo si tu veux voir. Tu as été une bonne pute qui jouit, bravo ma chérie !
– J’ai l’anus complètement défoncé, pauvre taré ! Et j’ai des hématomes sur tout le corps, y compris le visage !
– Oui c’est à la fin, tu voulais plus. Tu demandais qu’on frappe et encule fort, ma chérie, c’est la vérité ! Mais c’est vrai Omar a exagéré. On va le punir. Si tu veux, je viens avec lui maintenant et c’est toi qui lui fait mal ! Il mérite !
– Non mais tu plaisantes ou quoi ? Déjà, plus jamais vous foutez les pieds chez moi !
– C’était pour que tu te réveilles à l’abri…
– Jamal, vous m’avez trimballé travesti comme une putain et dégoulinant de sperme ! Si quelqu’un a vu…
– Non personne a vu ! On a fait attention. La voiture au cul de l’entrée et toi dans une couverture !
– Et si quelqu’un était rentré et m’avait trouvé sur le canapé dans cet état ?

C’est là que je me rends compte que si je suis encore courbaturé, je n’ai presque plus mal à l’anus. Je raccroche au nez de Jamal et me rend dans la salle de bain pour inspecter mon derrière : le muscle a presqu’entièrement dégonflé. On voit clairement que j’ai récemment été défoncé mais ça n’a plus rien à voir avec hier soir. J’enfonce lentement un doigt dans mon rectum et le fait coulisser sans ressentir de douleur. Je laisse échapper un petit rire : ça suffit à me faire bander. Ce pervers de Jamal a visiblement une pommade qui permet d’être vi0lé à la chaîne, quelle aubaine !

De retour dans la chambre, je le rappelle :
– Ma chérie, c’est pas gentil de…
– C’est quoi cette pommade pour le cul ?
– Ah ça ! C’est utilisé par ceux qui font les vidéos de porno pour être enculé. Pas que les pédés, même les femmes. C’est connu. Ça fait dégonfler le trou même avec le fist. Aussi c’est pour la douleur. On peut être complètement ouvert du cul mais sans avoir trop mal. Par contre après des fois, c’est déchiré à f0rce alors il faut faire attention. C’est Moktar du sex-shop qui me donne. Et Madame Ania le prend aussi pour les pédé qu’elle encule dans le show.
– Tu as la même chose pour les bleus et les coups ?
– Ah non pardon, ma chérie, ça j’ai pas. Tu demandes pour la pommade parce que ton cul veut encore de la bite d’homme hein ?
– Non Jamal, je demande parce que j’ai la gueule défoncée et le corps strié de marques. Elles sont dues à quoi d’ailleurs, toutes ces marques ?
– Je t’ai dit, c’et Omar avec la ceinture.
– Dis à ce gros connard qu’il paiera ça !
– Je t’ai dit si tu veux je l’amène et tu le punis ! jusqu’au sang, on le f0rcera !
– Je ne vais pas tabasser ce sale con chez moi, Jamal.
– Plus tard alors. Ailleurs. Tu dis, j’organise. Il a l’habitude, c’est mon esclave, ma chérie.
– Comment ça ?
– C’est depuis la prison en Algérie. Moi parce que j’avais des affaires avec des filles. Omar parce que c’est un artaïl. Un pédé. Les gens savaient que c’était un artaïl. En Algérie, c’est interdit alors c’est dur pour eux déjà en normal. En prison encore plus. Il était vi0lé tout le temps par tout le monde. Il était jeune et pas gros. Il est devenu gros quand ils ont coupé ses couilles. Après c’était l’esclave tout le temps. Mais après je le protégeais alors c’était ma kahba.
– Omar est castré ?
– Castré oui. Plus de couilles. Avec un couteau ils lui ont fait. Après la prison il est venu en France avec moi. En France c’est possible d’être pédé sans être cogné, ça tu sais. Mais depuis il aime avoir mal et faire mal. Il a besoin. Et faire la pute. Sucer et qu’on défonce son cul. Hier il était jaloux et il voulait que tu ais mal aussi. Mais on va le punir. Si tu veux tu viens maintenant et on regarde la vidéo d’hier et on fait mal à ce gros pédé.
– Non ça va merci, Jamal : j’ai ma dose de sensations fortes là !
– Bientôt alors ! Maintenant toi aussi tu es ma kahba.
– Ça on en reparlera…
– Ma chérie, tu es fâché mais tu as le trou fait pour les gros zèbs, c’est bien. Pour être beaucoup enculé. Et tu as la petite bite du pédé. Les hommes aiment parce qu’ils se disent que leur bite est grosse quand ils t’enfoncent. Tu comprends, ma chérie ?
– Je suppose…
– Les arabes ont honte de faire avec les pédés, tu sais. Parce que c’est des vrais hommes. Alors ils font mal au pédé qui leur fait honte. Ils paient plus pour faire ça. Ils le font à Omar. Comme castré, c’est pas un homme. Il est frappé et fouetté souvent. Et aussi je lui fais la torture de sa bite et des seins. Et l’écartement du cul. A toi aussi les hommes aiment te le faire. Comme hier. Parce que tu es un français et ils aiment humilier le pédé français. C’est avec l’histoire et l’indépendance tu vois ? Aussi te vi0ler à plusieurs et éclater l’anus. Il faudra faire si je te dis de faire. Ils paient bien, ma chérie. Tu le referas, oui ?
– Non Jamal. Tu ne comprends visiblement pas mais je ne veux plus de plan ou je me réveille bourré, drogué et le cul éclaté !
– Oui je comprends ma chérie. Alors on refera juste le glory hole d’accord ? Et aussi enculer avec Madame Ania, oui ? Pour fouetter, on attendra un peu. C’est que moi qui te fouettera. Pour t’habituer. Je sais bien le faire, tu vas aimer. Après on verra aussi avec Omar qui t’écartera bien l’anus. Il sait bien faire. Pour le fist. Avec la crème après ça va. Tu vas beaucoup aimer. Tu vas juter et…
Je raccroche. Ce malade est parvenu à me donner envie malgré tout ce que je viens de subir. Il vaut mieux que je ne tente pas le diable : il est capable de me convaincre d’aller le rejoindre et je suis assez accro à la défonce pour le faire. Il tente de rappeler pendant un bon quart d’heure et je finis par éteindre mon portable.
En fin d’après-midi, il reprend son harcèlement et vient même physiquement frapper à ma porte. Il n’y a que lorsque je le menace d’appeler les flics qu’il s’en va, non sans m’avoir promis de terribles représailles après avoir joué les enjôleurs.

Je sais que Jamal est un homme potentiellement dangereux. J’ignore de quoi il est vraiment capable mais je le sens et ses fréquentations, son parcours, tout le confirme. La nuit tombée, je fais une valise et je ferme soigneusement la maison. Je ne travaille pas la semaine prochaine et à ce titre, je vais pouvoir disparaitre le temps que la situation se tasse. Pour autant, ça ne règle pas entièrement mon problème : comme maintenant à mon habitude, j’ai envie de trucs sales et pervers, envie d’être rabaissé et utilisé comme de la viande. Je reste cependant assez lucide pour savoir que rempiler auprès des malades avec lesquels je concrétises mes envies déviantes risque de me conduire aux urgences. Jamal est aussi toxique que Papa N’Dialo. Il est bientôt 20h. Je vais dans le bureau et retrouve la carte du vieux chirurgien au château. Je ne sais pas trop ce que je vais dire mais je l’appelle.
– Allo ?
– Bonsoir. Vous m’avez laissé une carte il y a quelques temps. Nous avions discuté chez vous de… diverses choses.
– Les appels que j’ai sur cette ligne ne peuvent être que de cette nature. Rafraichissez-moi un peu la mémoire, je vous prie ?

Sa mémoire rafraichie, il se déclare enchanté que je rappelle et me propose de venir chez lui. Avant d’accepter, je lui précise que je sors tout juste d’une séance éprouvante et que je viens juste pour discuter. Il rit et me dit qu’il n’y a pas de problème, qu’il n’aggravera pas la situation sauf si j’en fais la demande, mais qu’il insiste pour que je lui raconte toute l’histoire. Je ramasse les loques de putes et les mets dans un sac avec le pot de crème, colle ma valise préparée pour la semaine de congés dans le coffre puis saute dans ma voiture et me rend directement chez lui. La grande grille qui permet d’accéder à la propriété est ouverte. Je traverse l’immense bois qui mène à la demeure. Il y a deux véhicules somptueux déjà stationnés. Vu mes expériences récentes, j’hésite à descendre. Mon hôte se tient sur le perron. Il porte un smoking et fume une cigarette. J’avance ma voiture jusqu’à lui, prêt à repartir :
– Vous n’aviez pas dit que vous aviez déjà des visiteurs ?
– Vous n’avez rien demandé, mon cher.
– C’est inhabituel pour un dimanche soir, non ?
– Votre commentaire est amusant. Pour les gens comme moi, c’est tous les jours dimanche… Allons, ne soyez pas parano, mes invités ne représentent pas un risque pour vous. J’ai été clair à ce sujet : je ne f0rce personne. Venez nous rejoindre et profiter du dîner. Puis de la soirée si vous le désirez. Il va sans dire que vous pouvez coucher ici : il y a de la place !

Je me gare à côté des autres voitures puis nous rentrons. Il me précède jusqu’au salon. Je marque un temps d’arrêt et il laisse échapper un petit rire en voyant ma tête quand je découvre une femme blonde en robe de soirée agenouillée et afférée, la tête qui s’active entre les cuisses d’un moustachu dégarni et ventru en costume assis dans un fauteuil. Installé dans un canapé à coté, un second type à la pose étudiée regarde distraitement la scène, un verre de cognac en main.
– Mon cher, je vous présente mes invités : l’élégant quinquagénaire occupé à boire un verre s’appelle Louis-Henri. C’est sa… disons… « compagne » Dominique qui est occupée à détendre notre ami le préfet Serdant. Celui-ci a ce que nous appellerons pudiquement de gros besoins… Quant à vous, je m’aperçois du coup que je ne connais même pas votre nom…
– Michel.
– Enchanté, Michel. Je suis Guillaume à propos. Michel donc, se cherche encore mais selon mon expérience, il est passif et masochiste.
Louis-Henry et Serdant me saluent poliment de la tête. Dominique fait un simple petit signe de la main sans cesser son occupation. Dans ma tenue défraichie avec mon sac plastique rempli de guenilles, je fais vraiment tâche. Guillaume sent ma gêne et me lance gentiment:
– Si nous allions voir si j’ai une tenue plus appropriée à vous proposer pour le dîner, mon cher ?
Une fois dans l’escalier monumental qui s’élève vers les étages, je l’arrête :
– Je vous remercie mais il vaut mieux que je reparte.
– Ne soyez pas idiots, Michel : vous êtes un pervers qui a parfaitement sa place ici. Malgré les airs supérieurs qu’ils se donnent, mes invités sont exactement comme vous : des vicelards de la pire espèce. … Alors détendez-vous, profitez et faites-moi confiance : nous allons bien nous amuser !

Nous pénétrons dans ce qui doit être la chambre de Guillaume. Il disparait dans un immense dressing qui flanque la pièce en me disant :
– Enlevez vos guenilles, cher ami : je vais choisir de quoi vous mettre en valeur.
– J’ai une valise dans la voiture, ça n’est pas nécessaire.
– Une valise ? Vous êtes en cavale ? Il va falloir me raconter ça ! Mais comme je doute que vous ayez un habit de soirée dans cette valise, obéissez ! Allez !

Je m’exécute. Sous-vêtements compris. Il revient avec plusieurs tenues qu’il dispose sur le lit puis il met ses mains sur sa bouche et déclare en regardant mon corps abimé :
– Dieu du ciel, comme je regrette de ne pas avoir été là pour voir ce qui vous a mis dans cet état !
– Il y a une vidéo à priori…
– Il faudra me montrer ça ! Sinon qu’en dîtes-vous ?

Je m’avance pour choisir ma tenue. Il y a un smoking complet, une espèce de panoplie style esclave SM et… une robe de soirée. Je passe le tout en revue. Il vient derrière moi, empoignant mes testicules d’une main et ma bite de l’autre puis se met à serrer en me soufflant à l’oreille :
– Alors ? Plutôt Michel ou Micheline ce soir ?

Tout en continuant à serrer, il plaque son ventre sur mon cul et je sens sa queue bandée. Elle est beaucoup plus imposante que son âge et sa stature laisseraient à penser. Je me cambre et passe mes mains à l’arrière pour attirer son bassin. Il abandonne mon bas ventre pour mes mamelons qu’il pince et tord sadiquement entre ses doigts.
– Donnes m’en l’occasion et je te ferai supplier, salope…
Je passe mes mains sur sa braguette pour la lui donner quand la voix rauque retentit :
– Vous êtes attendus en bas, messieurs ! Ou plutôt monsieur et sa chienne…
Guillaume laisse échapper à nouveau son rire étrange. Je me retourne comme un gamin pris en faute et je rougis : Dominique nous observe de l’entrée en souriant, les bras croisés sur sa poitrine imposante. La cinquantaine, charpentée et pulpeuse, c’est une superbe plante aux longues jambes musclées et aux formes pleines. Qu’une femme me voit faire la lope m’embarrasse plus que je ne l’aurai pensé – même si elle avait une bite en bouche il y a encore quelques minutes. Mon trouble n’échappe pas à Guillaume et c’est sur un ton de faux reproche qu’il répond :
– Michel n’assume pas encore ses pulsions, ma chère. Y compris devant une dame qui en a une beaucoup plus grosse que lui !

Je ne suis pas certain d’avoir bien entendu mais mes yeux ne me trahissent pas lorsque Dominique me fait un clin d’œil et appuie ses deux mains sur sa robe pour tendre le tissu et mettre en apparence dessous une verge épaisse en ajoutant :
– Nous ferons en sorte de désinhiber cette petite pédale en profondeur dans ce cas.
Enchantée par l’effet produit, elle virevolte puis s’éloigne sur ses talons qui claquent sur le marbre comme des coups de fouet.
– Hé oui : vous n’êtes pas au boute de vos surprises, mon cher Michel ! dit Guillaume en m’assénant une claque sur les fesses. Mais nous reprendrons notre… discussion plus tard. Ah et mettez donc le smoking : pour que vous profitiez pleinement des autres tenues, il faudra que je vous fasse soigneusement épiler avant. Moi, je redescends avant de faire des bêtises alors rejoignez-nous vite…

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