FATIMA, D’ORIGINE MAROCAINE

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FATIMA, D’ORIGINE MAROCAINE
LU SUR LE NET :

Je me présente, je m’appelle Malik, j’ai 21 ans et je suis algérien d’origine. Assez beau garçon, 1m80,la peau basanée et tout bien où il faut. L’histoire que je vais vous raconter s’est réellement passée et, depuis lors, je ne suis plus le même homme.

Tout à commencé au mois de juin l’année passée. C’était la période d’examens. A cette époque, j’étais dans un lycée de mon quartier, peuplé d’une écrasante majorité de jeunes d’origine maghrébine. Afin de mettre mes cours en ordre pour pouvoir réviser dans de bonnes conditions, j’avais demandé à une copine de classe si elle pouvait me prêter son cours de mathématique. Fatima ( c’est son prénom) n’était pas vraiment le genre de fille sur qui on fantasme généralement : 19 ans, d’origine marocaine et aînée d’une famille nombreuse , elle était plutôt grassouillette, pas bien grande et, surtout, elle s’habillait toujours de vêtements sobres, ne dévoilant rien de son corps. Pour couronner le tout, elle portait le voile, ce qui ne laissait voir de sa personne que son visage, lui-même assez banal. Fatima n’avait bien entendu jamais eu de petit ami car elle se réservait pour son futur mari, comme le veut la tradition.

Elle m’avait dit que je pourrais recopier son cours de math mais qu’elle ne voulait pas me le prêter car il ne restait que peu de jours avant l’examen et elle devait étudier. Je lui demandai donc de rester avec moi après les cours à l’école afin que je puisse recopier son cours et , à ma grande surprise, elle me répondit que je n’avais qu’à l’accompagner chez elle car elle devait faire le ménage avant le retour de son père qui était en voyage au Maroc. Comme je m’inquiétais de la réaction du reste de sa famille si on la voyait débarquer avec un garçon à la maison, chose inconcevable dans une famille musulmane, elle me tranquillisa en m’assurant que personne ne viendrait avant 20h, ses frères et sœurs étant avec sa mère en visite chez des cousins à Lille.

Il était 14h, ce qui me laissait amplement de temps de me mettre en ordre avant l’arrivée de sa famille. Nous arrivâmes donc chez elle , un modeste appartement situé dans un vieil immeuble sans âme. Aussitôt , je me mis au travail, soucieux de ne pas perdre de temps, je remerciais Fatima de me rendre ce grand service et m’installait à la table du salon.Pendant que je recopiais son cours, Fatima faisait la vaisselle et nettoyait la cuisine.
Elle s’était déchaussée et marchait pieds nus en faisant des allées et venues autour de moi. Je me surpris en train de regarder ses pieds fixement. Je m’expliquais cette attirance soudaine par le fait que cette fille ne dévoilait jamais rien de son corps, et je dois dire que la vue de ces pieds nus sur une femme voilée était particulièrement excitante. J’eu un peu peur qu’elle s’aperçoive que je la matais mais , après tout, ce n’étais pas bien grave, je continuais donc à regarder ses pieds et elle s’en rendit compte car elle me fit un petit sourire. Gêné, je me replongeai dans mon travail et tentai de ne plus me déconcentrer.

Après quelques instants, Fatima vint voir ce que j’écrivais par derrière mon épaule. Je sentais son odeur de transpiration et , loin de me déplaire, cela m’excita particulièrement.

Il commençait à s’installer une ambiance étrange et elle devait s’en rendre compte. Elle s’assit dans un fauteuil, fatiguée de son ménage. Tout en me parlant de l’école, elle se massait doucement les pieds. Elle me dit qu’elle avait mal aux pieds et, dans un élan charnel, je lui proposais un massage. Elle rougit, visiblement troublée par cette proposition. Ne la laissant pas répondre, je m’approchai d’elle et commençai à lui masser les pieds. Elle se détendait au fur et à mesure que je la massais ; moi, je prenais mon pied ( c’est le cas de le dire ) et savourais ce moment d’apparence anodine mais pourtant tellement érotique. Je détaillais chaque centimètre de peau nue que je touchais, du bout des orteils jusqu’au bas des chevilles, légèrement poilues, ce qui me fit penser qu’elle ne s’épilait probablement pas.

Je m’excitais de plus en plus et l’odeur de ses pieds moites me montait au cerveau et me mettait dans un drôle d’état. Elle fermait les yeux et respirait plus vite, visiblement, mon massage ne la laissait pas indifférente. N’y tenant plus , je posais mon visage contre ses pieds chauds et odorants, en respirais l’arôme parfumé, et me mis à les lécher. Fatima ne tentais même pas de résister, au contraire, elles poussait ses pieds contre mon visage et me caressait avec, forçant l’entrée de ma bouche avec ses orteils. Je suçais ses doigts de pieds en salivant fort et glissait ma langue entre chaque orteil comme pour mieux goûter son odeur. Fatima respirait bruyamment et je voyais une tâche d’humidité apparaître sur son pantalon noir, au niveau de son entre-jambes.
J’abandonnais ses pieds et lui caressai les jambes puis le haut du corps en l’enlaçant assez brutalement. Je léchais son pantalon à la hauteur de son sexe et reniflais l’odeur a****le très prenante qui s’en dégageait. Je la retournais et embrassait son cul, gros et chaud. Je n’en pouvais plus, je lui enlevai son pantalon fébrilement et restai quelques secondes à contempler son cul bien gras, enveloppé d’une bête culotte blanche.
Fatima n’avait pas prononcé un mot depuis le début du massage. Il était évident qu’elle appréciait, ses gémissements rauques et sa respiration haletante le prouvaient.

Je la retournais à nouveau et léchais son entre-cuisses, sur les rebords de sa culotte. Sa chatte sentait très fort et , au lieu de me dégoûter, cela me transportait littéralement aux confins de l’enivrement sexuel. Fatima avait relevé sa chemise et défait son soutien-gorge et elle se pinçait les tétons en poussant des petits cris de plaisir. La vision de cette fille voilée en train de se caresser les seins et de se faire bouffer la chatte eu raison de ma raison…je n’étais plus que chair, dur et chaud, prêt à faire tout et n’importe quoi pour jouir et la faire jouir.

J’enlevai mon T-shirt, mon jeans et mon caleçon et lui présenta mon sexe circoncis, tendu et prêt à exploser. Fatima le goba aussitôt et se mit à le sucer goulûment pendant que ses doigts tripotaient mes couilles. Je ne pus résister longtemps à ce traitement et éjaculai soudainement dans sa bouche. Fatima était transformée. Je n’aurais jamais imaginé ça à peine quelques heures avant : elle se léchait les lèvres et avalait mon sperme qui dégoulinait de sa bouche avec dans les yeux un regard de tigresse. Ce spectacle me fit rebander très rapidement et je décidai de passer aux choses sérieuses. Je lui abaissai la culotte jusqu’aux genoux et entrepris de glisser un doigt dans son vagin poilu autant qu’humide, mais elle m’arrêta :
-« Non, je veux rester vierge……de ce côté… »
En prononçant ces paroles, elle se mit sur le ventre et me présenta ses fesses. Je tirais sa culotte pour la débarrasser de ce tissu inutile et remarquais quelques traces brunes ;ce n’était pas suffisant pour me déconcentrer et , curieusement , cela m’excita encore davantage.

J’écartai les fesses charnues et attirantes de Fatima et lui léchai la raie de haut en bas, puis de bas en haut. J’ouvris encore plus ce délicieux cul qui m’était offert et reniflai son anus très profondément. Cette odeur me rendait dingue. Elle était très poilue et je goûtais maintenant chaque poil qui venait se frotter sur ma langue. J’enfonçai ma langue dans son petit trou et avalais ma salive pour mieux la goûter dans un bruit de succion terriblement stimulant.

Fatima gémissait et se touchait la chatte, m’encourageant par des paroles de plus en plus obscènes :
-« Oh oui, lèche mon trou de cul, doigte-moi le cul, doigte-moi le cul !! »
Je ne me fis pas prier et lui enfonçai 2 doigts d’un seul coup. Elle poussa un cri. J’accélérai mon mouvement et lui doigtai le cul de plus en plus vite. Fatima était dans tous ses états, elle transpirait abondamment et mes doigts glissaient dans son cul comme ils l’auraient fait dans une chatte bien mouillée. La sentant prête, je me positionnais bien , debout derrière elle et introduit mon membre tout droit dans son anus. L’entrée se fit facilement, son trou de cul étant déjà largement ouvert et bien humide, ( je soupçonne quand même cette petite garce de se doigter le cul assez régulièrement) et je la pénétrai sauvagement et violemment.
Fatima hurlait de plaisir et me disait des mots adorablement salaces :
-« Baise-moi le cul, encule-moi, défonce mon trou de cul, oh oui, baise-moi, encule-moi, encule-moi !!! »
L’effet ne se fit pas attendre et cette grosse cochonne jouit bruyamment sans que ni elle ni moi ne touchions à sa chatte.
En voilà une qui semble aimer les rapports anaux pensai-je… mais je ne pensai pas bien longtemps car une autre partie de ma personnalité réclamait mon attention, aidé par les contractions de l’anus de Fatima, mes couilles se déversèrent à l’intérieur de son cul et nous restâmes quelques minutes l’un sur l’autre, incapables de faire le moindre mouvement, délicieusement repus.

Après un bref repos, néanmoins bien mérité, constatant que le temps avait continué sa marche inaltérable durant nos ébats, je me rhabillai et pris congé de Fatima après l’avoir remerciée du grand service qu’elle m’avait rendu…..

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