Une séparation brutale (4)

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Une séparation brutale (4)
Un mois s’était écoulé. Et pour mon grand soulagement, nous n’avions pas quitté la ville. Toutefois, le problème du logement s’était posé, car l’hôtel revenait cher, et mes économies n’étaient pas éternelles. J’avais donc décidé de chercher un emploi, et j’en avais trouvé un dans une agence immobilière. Je n’avais pas de compétence particulière, mais une bonne présentation et un bon bagou. Et on va mettre cela sur le compte de la chance du novice, je réalisai deux ventes lors du premier mois, ce qui me permit d’accumuler de bonnes comissions. Toujours par le biais de l’agence, je pus consulter un grand nombre de propositions de locations immobilières, et je trouvais un sympathique deux pièces dans une jolie résidence avec jardin et piscine. Ma mère avait été enchantée. Nous avons quitté notre petite chambre d’hotel pour l’appartement avec nos quelques valises, il fallait à présent tout aménager. J’avais commandé un grand lit deux places (dans lequel je comptais passer des heures interdites avec ma mère), ainsi qu’une table, des chaises et une télévision. Ma mère m’avait pris des espèces pour équiper la cuisine des premières necessités. Nous aménagerons mieux dès qu’on le pourra.
Je rentrais du travail, et ma mère était dans la salle de bain, en train de ranger ses affaires qu’elle venait d’acheter, divers savons, shamppoing, maquillages, sèche cheveux, serviettes… Elle était en maillot noir deux pièces. Me voyant arriver, elle se leva pour me faire la bise.
– Ta journée s’est bien passé ? demanda t-elle.
– Oui, je pense que j’ai une vente qui va se faire, j’ai eu un compromis. Et toi, tu as bien aménagé je vois.
– Oui, oui, je suis contente. J’ai pas mal nettoyé la terrasse aussi, et j’ai mis des fleurs sur les rambardes. Et puis j’ai profité un peu de la piscine aussi, c’était agréable, il n’y avait pas grand monde.
Comme elle me faisait la bise, je tournais la tête pour embrasser ses lèvres. Elle était toujours mal à l’aise avec cela, et à l’idée que l’on vive un peu comme un couple. Je l’embrassais pleine bouche pendant quelques instants, puis elle se recula un peu. Je retournais dans la chambre, ma mère avait tout bien nettoyé et agencé. Le lit était fait, avec des draps propres, la fenetre était entrouverte, avec les rideaux légèrement tirés. Nos affaires étaient rangées dans la penderie et dans une petite commode que nous avions achetés. Elle avait posé un vase avec des fleurs dessus, ainsi qu’un cadre photo où nous étions tous les deux. Ma mère me rejoint.
– Ca te plait ? fit-elle.
– Tres joli. Tu as l’air de te plaire dans cet appartement.
– Je m’y sens très bien. Ca me plait de m’en occuper et d’installer nos affaires. Après, c’est juste que…
– Quoi ?
– On vit comme un couple et ça me fait bizarre.
– Encore ?
Ma mère fit la moue. Depuis la séparation avec mon père, il n’y avait pas eu un jour où nous n’avions pas fait l’amour.
– A l’hotel, je ne savais pas trop vers où on allait. J’étais égarée. Mais là, voilà, on s’installe ensemble, tu m’entretiens financièrement, je me sens à la fois femme au foyer, et ta mère. Je sais que tu travailles toute la journée pour nous, et que tu as mis tes études de coté. Je veux que tu sois heureux de trouver un appartement bien rangé et propre quand tu rentres, et je veux pouvoir te réconforter avec de bons repas, et mon amour.
– Tu m’aimes ?
– Oui je t’aime.
J’entrainais ma mère vers le lit en lui baissant la culotte du maillot. On s’allongea. Elle s’était un peu rasé la chatte, échancrée pour le maillot justement, et les poils étaient plus courts. Je sortis ma queue gonflée et la présenta devant sa fente. Je glissais tout seul en elle. Elle poussa un léger soupir. Je me mis à aller et venir.
– Je veux avoir ça tous les jours maman.
– Je te le donnerai mon bébé. Mais il faut juste que ça ne se sache pas, qu’on reste discrets. Je dirai aux voisins que je dors dans le salon, qu’on a un clic clac, mais dans l’idéal, j’aimerai que personne ne vienne chez nous.
– Empale toi sur moi.
On se tourna. J’étais couché sur le dos à présent. Ma mère vint s’assoir sur moi, ma queue glissa dans sa chatte, et elle commença à aller et venir. De mon coté, je lui donnais aussi des coups de reins et ma queue s’emboitait complement dans sa chatte.
– C’est boooon, souffla t-elle.
– J’ai envi d’un truc maman.
Je sortis de sa chatte, et ma mère vint s’assoir à coté de moi. Je me levais sur le lit, et plaqua ta tete de ma mère sur ma bite, qu’elle prit en bouche. Avec mes mains, je faisais aller et venir la tete de ma mère, enfonçant ma queue dans sa bouche. Je sortis ma queue et me branla et frottant mon gland contre ses joues, son nez, sa bouche. J’éjaculais copieusement, arrosant de sperme son visage. Elle fit un petit recul avec une grimace.
Je fis un peu en arrière également pour la regarder.
– Tu es à moi maman, ta chatte, ton cul… Dis moi que tu m’aimes, en te faisant jouir.
Ma mère passa sa main sur sa chatte et se mit à se carresser. Elle me dit clairement des “je t’aime”, tout en se touchant activement le clitoris.
– Je t’aime, dit elle fort et distinctement, en me regardant dans les yeux, tandis qu’elle se tournait le clitoris entre deux doigts. Elle frotta, frotta, et frotta encore, sa main sur sa chatte. Elle s’allongea en arrière et plia les jambes, qu’elle écarta. Je m’avançais. Je deux doigts, je lui ouvrais la fente au maximum, tandis qu’elle continuait de s’activer sur son clitoris. Je vis son visage se crisper, et elle se raidit d’un coup, voulant serrer les jambes. Je les retint ouvertes, et continua de lui masturber la chatte. Des petits jets de mouille sortirent de sa chatte, en goutellettes, arrosant les draps et son entre cuisse. Doucement, je glissais mon visage, et me mit à lécher son jus d’amour. Elle reprenait ses esprits, me laissa finir, puis se leva, retira le soutien gorge de son maillot, et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche. Je la suivis, la regarda se savonner, se frotter le visage pour se débarrasser de mon sperme, se laver les seins, la chatte, au savon. Quand elle sortit, elle prit son peignoire, elle sentait bon. Comme je la regardais, elle me demandait ce qu’il y avait.
– Je t’aime aussi, lui dis-je.
Elle vint m’enlasser, son visage plein d’amour et de tendresse, et se serra contre moi. J’en profitais pour glisser ma main sous son peignoire.

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