Travail au cinéma Porno

Travail au cinéma Porno
Je copie-collé l’histoire de mon ami d’enfance avec qui j’ai eu du plaisir d’adolescence. Voici un fait vécu entre lui et moi quand nous avions 17 ans.

Je viens d’une petite ville du grand nord québécois. Chez nous, les hivers sont rigoureux, les hommes se doivent d’être virils et il y a mathématiquement un déficit de femmes. Depuis quelques mois, j’ai développé une relation particulière avec mon bon copain. Nous n’avons pas de copine ni l’un ni l’autre et avons appris au fil des mois à apprécier des moments intimes qui dépassent les limites habituelles. Mais pour nous, pour une raison que j’ignore, cela nous apparaît tout à fait naturel. Nous avons commencé par se masturber ensemble… puis, mutuellement. Je me rappelle d’ailleurs très bien de la première fois que j’ai tenu son gros membre viril dans un vestiaire. Il était tellement chaud et juteux ! Parfois dans la forêt… parfois dans la voiture… parfois dans nos chambres, nous avons exploré plusieurs endroits par la suite.

Vous n’allez pas me croire mais je vous jure que c’est vrai : mon premier emploi était comme projectionniste dans un cinéma porno. Je n’y travaillais que les samedis et dimanches soir. Un certain samedi de janvier, mon copain me demande si il peut m’accompagner au travail. Il est curieux de savoir comment cela fonctionne. Bien entendu, j’accepte. Les soirées sont plutôt banales lorsque l’on revoit toujours le même type de film et cela me fait toujours plaisir de passer du temps avec mon ami.

J’arrive au cinéma à 18:30 et commence ma préparation pour la projection de 19:00. Je lui ai demandé d’arriver à 19:00 à la porte derrière le cinéma et dès que le film commence, je descends dans la salle et me rends à la sortie d’urgence pour le laisser entrer gratuitement. On retourne dans la salle de projection, où je lui explique les rudiments du cinéma. À l’époque, on produit la lumière avec des tiges de carbones. Je dois les garder à environ 5cm pour que la lumière soit stable, ce qui nécessite une attention presque constante. À chaque 20 minutes je dois changer de projecteur avec une manœuvre qui implique plusieurs mouvements. Nous sommes dans une pièce isolée complètement à l’arrière de la salle et nous pouvons voir le film à travers de petits carreaux vitrés d’environ 15cm par 15cm. Je ne me souviens plus du titre du film, mais je me rappelle de la scène qui jouait, un homme et deux super nanas aux gros seins. Le mec dans le film se fait sucer alternativement par l’une et l’autre.

Même si nous sommes de chaque côté d’un projecteur, je vois, à la bosse dans son pantalon, que mon ami est très allumé par ce qu’il voit. Et moi, je suis très excité par ce que je vois devant moi. Je décide d’ouvrir ma fermeture éclair et de sortir mon membre gonflé. Mon mouvement attire son attention et il me regarde la queue, pour ensuite me regarder à travers les bobines qui tournent avec un large sourire en coin. Il ouvre sa fermeture éclair à son tour et sort son gros membre. On se regarde mutuellement tout en regardant le film par moments. Les cloches du projecteur se font entendre… je dois changer de projecteur. Je passe immédiatement de l’autre côté où se trouve mon copain, et j’attends le signal (à l’époque indiquée par deux points blancs qui apparaissaient dans le coin supérieur droit de l’écran) pour opérer le changement de projecteur.

Pendant que j’attends le « cue », mon copain s’agenouille devant moi et il commence à me sucer tout en se masturbant. J’ai du mal à rester concentré. On n’a pas encore beaucoup d’expérience de ce côté, mais je dois avouer qu’il me suce à merveille. Mieux qu’aucune fille n’a réussi à le faire à ce jour. Nous sommes les deux bien pourvus par la nature, et il réussit à me prendre au complet. Jusqu’au fond de sa gorge… jusqu’à ne plus pouvoir respirer. Les points apparaissent… je fais le changement de projecteur et me concentre un moment sur ce que fait mon copain. Il semble vraiment éprouver du plaisir à me sucer puisqu’il émet des gémissements. Je sens que je vais bientôt gicler, je le prends par les épaules pour le soulever. Je m’agenouille à mon tour et place sa queue devant ma bouche. Il y a une goutte de liquide que je ne peux m’empêcher de lécher doucement. Puis je frotte sa queue sur mon visage pendant un moment en la sentant bien, avant de la prendre jusqu’au fond de ma bouche à mon tour. Il pousse un fort gémissement. Je le prends par les fesses et il commence un bon mouvement de va-et-vient dans ma bouche. Je sens sa queue extrêmement gonflée dans ma bouche et j’aime ça… j’ai envie qu’il jouisse mais je dois préparer le prochain projecteur. Je me relève et vais chercher la prochaine bobine du film que j’installe dans le projecteur numéro deux.

Je lui raconte alors que très souvent, les gens dans la salle s’adonnent à des activités sexuelles… surtout à l’arrière. Je lui propose d’aller jeter un coup d’œil. Je ferme la lumière de la salle de projection et j’ouvre doucement la porte… Je regarde à droite… rien… puis à gauche… Et oui ! Il y a là un homme dans la trentaine avec une belle jeune femme qui est en train de lui faire une pipe. Une rangée plus bas et un peu plus loin, il y a un homme d’environ quarante ans qui se masturbe en les regardants, ce qui semble allumer le couple encore davantage. Je me retire en rigolant pour céder la place à mon copain. Il n’en croit pas ses yeux. Rappelez-vous que c’était l’époque où il n’y avait pas de vidéo-cassette… il n’y avait que les cinémas. Il me demande : « C’est toujours comme ça ? » Oui, que je lui dis… je suis derrière lui et je me colle sur son beau derrière pendant que je lui prends la queue à travers son pantalon. Il sursaute… puis gémit doucement. Il me laisse le caresser pendant qu’il regarde le mec se faire sucer. Il frotte ses belles fesses sur mon érection. Puis la cloche se fait à nouveau entendre… c’est vite passé 20 minutes.

Nous fermons la porte et revenons aux projecteurs. Je lui propose de faire le prochain changement. Je lui explique comment… il est nerveux. Mais il aime les défis et il apprend vite et il fait l’opération sans problème. Je suis impressionné… Je prépare la prochaine bobine et il observe comment je fais. Je suis plutôt rapide et en moins de deux minutes, le projecteur est prêt. Cela nous laisse 18 minutes… J’ouvre son pantalon et laisse sortir son membre qui est en demi-érection. Il ouvre mon pantalon et je suis aussi en semi. Je mets nos deux queues ensembles et commence un mouvement de va-et-vient… C’est très beau et très excitant. En moins de 30 secondes, nous sommes durs comme ce n’est pas possible. Je me place à genoux devant lui et prends sa belle queue dans ma bouche. Je lui caresse les fesses et le pousse profondément dans ma bouche. Il regarde parfois le film, et parfois sa large queue entrer et sortir de ma bouche. Je n’ai qu’une envie ; le sentir gicler au fond de moi. Et c’est ce qui arrive… il me prévient qu’il va venir et tente de se retirer. Je le force à rester en moi et sens les douces giclées de son sperme dans ma bouche. J’adore sentir les pulsions de son membre dans ma bouche pendant qu’il se vide en moi.

Je me relève, et il descend à son tour devant moi. Il prend ma queue qui est au summum de l’excitation dans sa bouche et me suce pendant à peine 30 secondes que je le préviens à mon tour que je vais venir. Il retire ma queue de sa bouche et me dit qu’il veut voir mon sperme gicler. Il n’a pas le temps de finir sa phrase que mon sperme explose dans son visage, avec une bonne dose qui lui arrive directement dans la bouche. Il le garde quelques secondes pendant que je continue mon éjaculation… au moins une dizaine de giclées… partout dans son visage, ses cheveux et sur ses vêtements.

On part à rire et il recrache ce qu’il avait dans la bouche. Nous sommes submergés de sperme. Nous passons au moins cinq minutes à nous nettoyer et ramasser le dégât puis je dois me concentrer sur le travail. Nous terminons mon quart de travail ensemble et je le laisse opérer les projecteurs à quelques reprises. Une fois mon quart terminé, nous allons au casse-croûte manger une frite et un hamburger puis je vais le reconduire chez lui pour ensuite rentrer chez moi, tout sourire et comblé.

C’était le souvenir d’un autre épisode réel de nos aventures de jeunesse.

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