Putain de journée.

Blowjob

Putain de journée.
Plus que quelques marches à gravir et Maryse, après trois quarts d’heure de trajet, sortira du métro parisien pour se rendre sur son lieu de travail distant d’à peine 5 minutes à pied. Il est presque 10h00 ce lundi matin là et en s’engoufrant dans l’entrée de l’immeuble elle peut constater que déjà au moins une dizaine de ces collègues sont présentes .

Encore deux étages, au bout du couloir la porte du fond qui donne sur son studio, enfin plutôt sa chambre ou depuis maintenant 8 ans elle vend du plaisir à des hommes de tous ages tous milieux toutes proffessions. A 47 ans mais parraîssant moins, elle espère pouvoir arrêter dans les 5 ou 6 prochaines années et ne pas continuer comme certaines du quartier à 60 ans passés.

Cette pièce qu’elle a eu la chance d’acquérir assez vite à ses débuts ne dépasse pas 12 métres carrés, dans ce quartier de Paris c’est une surface moyenne pour une chambre de passe. A droite de la porte un lit de 140, au bout duquel une chaise sur laquelle les clients seront invités à poser leurs vêtements. Dans le coin en face un lavabo surmonté d’une armoire de toilette, un bidet juste à coté, une commode, un fauteil, des miroirs sur le mur face et le long du lit, le tout dans une déco récente aux tons pastels …

Comme chaque matin en arrivant, elle déballe son sac remplit d’effets personnels: Une trousse de toilette, une autre de maquillage, son sac à main, sa tenue de travail du jour, une paire d’escarpin à talon, des bas et des sous-vêtements de rechange, qu’elle range dans la commode puis elle se déchausse, se déshabille et se rhabille dans la tenue choisie en fonction de la météo, il fera doux aujurd’hui en ce début mai. Après avoir ôté son jean, elle enfile les Dim up noirs sa jupe plutôt très courte et la petite veste beige de tailleur sur un chemisier bleu marine, elle se chausse, se recoiffe, elle est prête pour une nouvelle journée de tapin.

Elle rejoint Sylvie et Laurence en train de papoter puis elles décident d’aller toutes trois prendre un café au troquet où elles ont leurs habitudes au milieu de la rue St Denis. Un quart d’heure plus tard retour en poste rue Blondel. A peine arrivé un jeune homme se dirige vers Laurence, qui l’accueille tous sourires, visiblement un habitué. Malgré ses 55 balais Lolo a toujours du succès. Ses énormes seins visibles sous ses hauts transparents et sa réputation de pipeuse de concours n’y sont sûrement pas pour rien .

Un quadra en costume cravate porte-documents s’approche… Maryse le fixe esquisse un léger sourire, l’homme s’arrête… Elle ne le connais pas.

_ Bonjour, c’est combien? (Question rituelle, même si la réponse est connue c’est le bon moyen pour engagée la conversation.)
_ 60 euros.
_ D’accord, allons y. (C’est le prix de la prestation basique, cretains demandent plus de détails ou cherchent des spécialités, négocient le prix, d’autres le font dans l’escalier ou en chambre)
Maryse prend l’escalier suivit par son client puis ils entrent dans la pièce.
Sans un mot l’homme sort trois billets de 20 euros et lui tend.
_Pour 1OO euros, je prend mon temps et vous aurez deux positions.
_ Non merci, l’homme n’est pas bavard.
Maryse de déshabille en gardant un oeil sur son client qui fait de même, le haut le bas la culotte, le rituel devrait se répéter de nombreuses fois aujourd’hui. Elle est déjà nue ou presque, elle n’a gardé que ses bas et chaussures et son soutien noir, le gars finit de se déssaper.
_Allonge toi dit-elle en montrant le lit
_ Non, je préfére rester debout pour me faire sucer.
Pourquoi pas… elle s’assoit sur le lit, att**** une capote et la sort de son étuit, le visage à quelques centimètre de la verge du client. Elle décalote le sexe et déroule le préservatif jusqu’à la racine du membre, le type commence à bander… Quelques mouvements de la main puis elle commence la fellation, Ces capotes ont un sale goût, c’est presque toujours le cas, sans compter sur le lubrifiant dont elles sont enduites….. Elle suce mécaniquement en branlant en même temps, il faut très peux de temps pour que la bite soit dure. Elle continue sa pipe encore une minute ou deux, il est bien raide, on peut passer à la suite.
_ T’es prêt ? Il fait un signe de la tête.
un peu de gel à l’entrée vaginle puis elle s’allonge la tête calée sur l’oreiller, il s’installe entre les cuisses ouvertes, jusqu’à ce que sa bite vienne en contact de l’entre-cuisse de la putain. Elle le guide, coup de rein, il pénétre sans ménagement le sexe féminin et commence ses mouvements de bassin. Maryse a fermé les yeux et se laisse baiser sans un mots pas de gémissement non plus, pas pour la prestation basique, sauf parfois vers la fin quand le client est long à venir.

Maryse a constaté avec le temps qu’au moins la moitié de sa clientèle se contente de la passe de base à 60 euros, qu’un gros quart restant paye plus pour rester plus longtemps, ce qu’elle appelle un moment et qu’enfin le reste paye pour des spécialités, une simple masturbation, utilisation de sextoy, fellation complète protégée bien entendue etc…. Sans compter les clients qu’elle refuse pour des demandes qu’elle n’accepte pas, BDSM et autre, elle est une classique.

Quelques insanités plus tard (on ose tout avec une pute), le mec commence à souffler la fin du rapport approche, elle laisse échapper un léger gémissement alors qu’il a pénétré un peu plus profond, aussitôt le rytme s’accélère encore, il se cabre, le sexe complètement enfoncé dans sa chatte, il râle, il jouit !

Elle regarde sa montre, déjà midi moins le quart, elle commence à avoir faim, elle ira manger le plat du jour au Balto, petit resto à l’angle de Sébasto Blondel….Quand le jeune homme qui la besogne sans ménagement en levrette aura fini …. Elle le regarde dans le miroir de la tête de lit, il paraît bien jeune, il pourait être son fils, il est tête baissée le regard sur sa queue qui va et vient juste sous sa pastille anale que dans cette position les clients reluquent à loisir, mais attention pas touche !! A peine un gémissement, les mouvements ralentissent d’un coup, il recule puis se lève la verge encore très raide au bout de laquelle pend la capote alourdit par une éjaculation généreuse.

_ Tu t’appelles comment ?
_ Romain et toi ?
_ Moi c’est Maryse et tu as quel age Romain ?
_ 23 ans et toi ?
_ 45 ….
_ C’est la première fois que je me fais une vieille, heu… je veux dire plus agée…
_ j’avais compris répondit-elle en souriant…Et ça t’as plus.
_ Ha oui, j’ai kiffé….Vous avez de très belles fesses pour votre age….

Il s’était maintenant rhabillé. A bientôt lui lança Maryse avant qu’il ne sorte .

Après le repas elle enchaine deux fellations, toujours assez désagrables à cause de l’indispensable préservatif , le Papy a mis du temps avant de lacher ses trois gouttes de sperme, elle a dû le finir à la main …

Puis un fétichiste du nylon. Arrivés en chambre elle demande la confirmation détaillée de ce qu’elle a compris sur le trotoir… Le Monsieur souhaite jouir sur ses bas à la hauteur des cuisses, c’est bien ce que Maryse avait compris. Elle s’installe assise sur une chaise jupe troussée, le client à genoux devant elle pentalon baissé puis se masturbe frénétiquement en frottant le gland sur ses genoux gainés. Assez rapidement il lâche quatre ou cinq giclées d’épaisse semence, les deux cuisses ont bien reçu et sa jupe un peu aussi …. Elle essuye ses jambes au sopalin, après que le gars soit parti, Maryse se change et enfille de nouveaux bas couleur chaire cette fois et nettoie sa jupe qui reste tâchée, elle déteste passer pour une souillon ….C’est le genre de détail que les collègues repèrent aussitôt et qui connaissent l’origine de la trace …..

En descendant elle croise Léa, une nouvelle, petite blonde aux cheveux courts toute mince suivit de José le gérant d’un sex shop du quartier qu’elle connait bien pour l’avoir elle aussi comme client. Il lui fait un clin d’oeil au passage. Pour en avoir discuté avec d’autres filles elles ont conclus que ce n’était pas un mauvais bougre mais plutôt mal dégrossi le garçon enfin un bon client pour quelques-unes d’entre elles et les bons clients ça se ménage ….

Vers seize heures les filles du soir commençaient à arriver alors que celles du matin sont déjà parties….. C’est la période creuse de la journée, la plupart des filles papottent à leur poste, c’est à l’heure de sortie des bureaux que de nouveau l’activite reprendra de plus belle . Allait-elle bientôt repartir ou au contraire profiter de cette journée de début de mois pour faire des heures sup ….. Elle était dans ses pensées quand un petit homme chauve et bedonnant lui demanda si Clotilde était là…. Clotilde était une grande antillaise doté d’un plantureux fessier qu’elle mettait systématiquement en valeur dans des leggings ou en été des shorts particulèrement moullants :

_ Non Clotilde est en vacances .
_ En vacances ?
_ Oui depuis la semaine dernière .
_ En vacances pour cmbien de temps?
_ Je ne sais pas mais quand Clotilde prend des vacances c’est souvent pour plusieurs semaines !

L’autre avec son regard d’ahuri ne cessait ne répéter merde merde merde !

_ Si je peux faire quelque chose pour vous… tenta Maryse qui savait qu’il était mal vue de détourner la clientèle, mais là un cas de force majeure non ?
_ Je viens spécialement de Chartres pour Clotilde c’est pas de chance, merde! Vous êtes libre alors.
_ C’est ça.
_ D’accord, allons y .

Passe classique avec ce pauvre type éjaculateur précoce, donc en théorie le client idéal, sauf qu’il lui a expliqué en long en large et en travers pourquoi il ne baisait plus sa femme qui refusait de prendre la pilule, ce dont elle se foutait comme de sa première culotte, la purge quoi !

Une petite demi-heure plus tard elle repartait en tenue civile, ce dernier client l’avais vraiment saoulée, au passage elle fit un petit signe à Laurence, ses énormes seins libres sous un très léger tissus qu’aucune veste ne cachait, elle avait décidé de profiter de cette belle et bonne journée pour renflouer son livret A. Salut Lolo à demain !!

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