Mon désir pour ma mère (5)

Big Dick

Mon désir pour ma mère (5)
On passa une superbe soirée pour mon anniversaire. Ma mère était ravie de retrouver ce restaurant qu’elle fréquentait auparavant avec mon père. Nous étions face à la plage, et dans un coin un peu au calme. Le diner était délicieux. Nous avons savouré differents plats, accompagnés de verres de vin differents qui se mariaient aux saveurs de l’assiette. Après le dessert, nous sommes allés marcher sur le bord de la mer, à regarder les étoiles, l’écume des vagues, et parler de choses futiles. Quand le moment de retourner à la voiture arriva, elle me dit :
– Tu sais, il ne se passera rien ce soir.
Je la regardais avec une reelle déception dans les yeux. Elle le remarqua, baissa un peu la tête tout en continuant de marcher. Elle ajouta :
– Je suis ta mère… C’est comme ça…
Elle voulut me prendre la main, mais je l’écartais au dernier moment. J’étais vraiment déçu. A chaque fois que j’avais l’impression que l’on se rapprochait, elle faisait en fait trois pas en arrière.
Une fois rentrés dans notre petit deux pièces, je posais mes affaires sur la table du coin cuisine, et revint vers ma mère qui enlevait sa veste. Ses seins pointaient au travers de sa chemise tandis qu’elle se cambrait.
– Je t’aime maman…
– Moi aussi mon cheri.
– Laisse moi dormir dans ton lit cette nuit…
– Non cheri…
J’étais dépité. Elle alla s’enfermer dans la salle de bain. Je pus entendre le petit cliquetit du verrou qui se ferme. Je me déshabillais, et l’attendit en caleçon à la sortie de la pièce. Au bout de cinq minutes, elle sortit vétue d’une chemise de nuit blanche. Elle passa devant moi pour aller à la cuisine, se servit un verre d’eau, et retourna du même pas vers sa chambre.
– Je vais aller dormir… Bonne nuit mon cheri…
– C’est vraiment dur ce que tu me fais, maman.
Ma mère s’approcha de moi, et passa sa main dans mes cheveux, puis sur ma joue.
– Ce serait une relation impossible et insupportable, murmura t-elle.
Je posais à mon tour ma main sur sa poitrine, saisissant son sein droit dans ma paume, sentant son mamelon dur au travers de sa chemise de nuit. Je malaxais un peu, tendrement, puis attrappa entre mes doigts son téton gonflé pour le faire rouler. Ma mère se mordit doucement la lèvre inferieur, en une petite grimace, et posa sa main sur la mienne, pour l’écarter.
– Je veux te faire l’amour, personne n’en saura rien.
– Non, cheri, non… sors toi ça de la tête.
– Tu ne m’aimes pas alors… Ce n’est pas possible… Tu es toujours amoureuse de papa…
Ma mère me considéra avec surprise. Elle murmura :
– Parle un peu moins fort, il est tard… Les voisins vont entendre… Je… J’ai passé vingt ans avec ton père, donc évidemment j’ai été très attachée à lui. Mais après ce qu’il m’a fait, et puis… Je ne te dis pas tout, mais la procédure de divorce va être vraiment compliquée, il n’arrête pas de faire trainer. Je ne l’aime plus.
– Je ne savais pas qu’il faisait trainer. Je pensais que tu n’avais aucune nouvelle.
– Il m’envoie des SMS regulierement. Mais je ne les lis pas toujours. J’ai besoin de tourner la page.
Tandis qu’on parlait, j’avais placé mes deux mains sur les seins de ma mère. Je la pelotais doucement, tout en bandant serieusement dans mon caleçon. Elle recula d’un pas, tout en continuant de me parler des texto qu’elle recevait de mon père, et se retrouva dos contre le mur, à coté de la porte de la salle de bain. En jetant un oeil à l’interieur, je pus voir le linge que ma mère portait ce soir, qu’elle avait posé sur la machine à laver. Je tandis ma main, et attrappa la petite culotte blanche, en dentelle, qui dépassait légèrement. Ma mère me regarda, sans rien dire, ouvrir la culotte devant elle, et passer doucement ma langue à l’interieur.
– Oh cheri, fit-elle, ne fais pas ça…
– Je t’aime maman… C’est tellement bon…
Je baissais mon caleçon devant ma mère. J’attrappais ma queue de mon autre main, et me mit à me branler.
– Maman, je vais te baiser ce soir…
– Non cheri, non… fit-elle en longeant le mur, en direction de sa chambre, pour s’y enfermer.
– Ne me fuis pas… Je t’aime… Tu ne peux pas refuser l’amour de ton fils…
– On ne peut pas faire ça !
Je continuais de lécher l’interieur de la culotte de ma mère, tout en marchant doucement avec elle vers sa chambre. Elle recula et attrappa la poignée de sa porte. Je rentrais à mon tour, et elle tenta de m’en empécher en me repoussant.
– Non maman, ne me repousse pas, je t’aime, ne me fais pas souffrir… C’est mon anniversaire…
– Cheri, c’est moi qui t’ait donné la vie. On ne peut pas. Tu es mon enfant…
– Je suis adulte maintenant, et j’ai envi de toi maman… On traverse tellement d’épreuves ensemble, ça nous ferait du bien… Ce serait fort…
– non je ne peux pas…
– Tu as peur d’aimer ça ? dis-je en entrainant ma mère vers le lit.
– Arrête ! cria t-elle en basculant sur le lit.
Je l’accompagnais immediatement après sa chute, relevant sa chemise de nuit jusqu’au dessus de son nombril. Ma mère se débattit tandis que je m’allongeais sur elle, lui écartant de plus en plus les cuisses.
– Stop ! Arrête ! ne cessait-elle de répéter.
Ma queue gonflée se retrouva contre le pubis de ma mère. Elle se tortillait sur le dos, mais je la maitrisais. Elle me donna une giffle, puis une autre. C’était douloureux et ça claqua fort. Elle se mit à pleurer, me redonna une giffle.
– Arrête ! répéta t-elle.
Je pris ma queue pour la placer devant la chatte de ma mère. Elle écarquilla les yeux et je vis sur son visage qu’elle m’implorait de ne pas continuer. Ma queue glissa dans sa chatte chaude. C’était doux, humide, chaud, tellement accueillant. Ma mère poussa un long rale. Je déboutonnais sa chemise de nuit, afin de mettre à jour ses seins, ce qui fut le cas après avoir ouvert trois boutons. J’allais et venais dans ma mère, lui donnant des coups de queue bien entiers, entrant et sortant completement ma queue d’elle, pour y replonger ensuite. Ma mère ne disait plus rien, et se mordait à nouveau sa lèvre inferieur. Je lui carressais les seins tout en la baisant.
Ma mère se mit à pleurer, tandis que j’accélerais la cadence dans sa chatte. Je tapais de plus en plus fort au fond de sa chatte. Elle était trempée, et le bruit mouillé avait pris le relais sur ses plaintes.
– Maman, j’en avais tellement envi… Regarde moi…
Ma mère jeta un regard vers moi, rougi par les larmes, et je me mis à la culbuter encore plus fort.
– Ca te plait… Dis le que ça te plait… Tu en mourrais d’envi…
– Tu es mon fils !! rétorqua t-elle, la voix remplie de rancune.
– Maman, je sais que ça fait des semaines que tu te masturbes presque tous les soirs, en regardant ma photo. Je sais que tu n’es pas insensible et que tu en avais envi… Je pense que tu avais surtout peur que ça te fasse jouir fort… Parce que oui, tu es ma mère… Je suis ton fils… Et on fait quelque chose d’interdit…
– Tu m’espionnais ??
– Tous les soirs je t’ai regardé te toucher la chatte pour moi. Et la journée, quand tu étais au travail, je me branlais dans tes culottes propres… Maman, il était temps que l’on fasse ça, que l’on passe enfin à l’acte…
– Mais il y a une difference, entre fantasme… Et ça…
– On s’aime, alors on fait l’amour…
J’accélérais, et je sentis ma mère se contracter un peu. Elle se mit à gémir, elle mouilla fort, et je tapais en elle comme un fou. Je sentis l’orgasme monter, et je crachais mon sperme au fond de sa chatte. Epuisé, je m’allongeais sur ma mère, lui écrasant les seins avec mon torse. Je sentis ma queue ramolir, sortir doucement de sa chatte, complétement inondée de mon sperme.
Ma mère posa sa main dans mes cheveux. Puis m’enlaça.
– Quelle folie, murmura t-elle.
– Il fallait qu’on le fasse.
– Tu ne me considéreras plus jamais comme ta mère…
– Tu es bien plus que ça maintenant. Et mon amour pour toi est à présent complet.
– Je pense que je t’ai fait plus grand cadeau qu’une mère puisse faire.

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