mia 6 – mia en mousse.

Big Dicks

mia 6 – mia en mousse.

Le lendemain, Laurence nous conduit à la gare. Je profite de ce qu’Iris prend les billets pour lui demander, “Il parait qu’on se revoit bientôt…”.
“Oui”.
Je fais les yeux les plus suppliants possible, comme ça… vous voyez? Non, mais je le fais bien! J’ajoute, “On se voit où?”.
Laurence me murmure à l’oreille, “Tu verras, ce sera cool.”
Pourquoi je peux jamais rien savoir, moi? J’ai plus 5 ans!
Dans le train, Iris me demande, “Tu as un problème?”.
“Non, non, tout va bien.”
Je vous ai déjà dit qu’Iris a le QI d’un physicien quantique (!), résultat elle lit en moi comme dans un magazine à scandales, “Tu mens!”, me dit-elle. Les gens dans le compartiment nous regardent, surpris!
“…euh… oui, mais si je savais un tout petit peu ce qu’on va faire…”
“Bon je vais te le dire : on a rendez vous avec un scientifique pour pêcher des requins.”
Elle se fout de moi, là???? Je lui dis, “Sérieux?”. Ouch! Elle m’a échappé cette question. Iris doit être spécialement de bonne humeur car, cette fois-ci, je ne prends pas une claque, ce qui est gênant en public. Elle daigne expliquer, “C’est un ami, spécialiste des requins. Il a un nom à rallonge qui se termine par “tin” alors tout le monde l’appelle Tin-tin.” Elle baisse la voix, car on n’est pas seuls, “Tu vas passer la soirée et la nuit avec lui. C’est un ami, donc je veux qu’il soit satisfait de tes services, tout à fait satisfait, quoiqu’il te demande. Tu as compris?”. Vu son ton, je murmure, “Oui, Maîtresse.”
Évidemment, elle ne m’a dit qu’une petite partie de ce qu’on allait faire. A Marseille elle me prend un billet et me dit, “Tu va à Sète à l’hôtel de l’Orque Bleue et tu demandes Monsieur F. Je vous rejoins, demain.”
Bon, faut que je fasse gaffe avec ce Monsieur.
*** ***
J’arrive à Sète au milieu de l’après midi. La gare se trouve au bord de l’étang de Thau, c’est beau…. Je me renseigne au sujet de l’hôtel, il se trouve tout près. Je marche le long des canaux, sous le soleil. D’un côté il y a la mer et de l’autre l’étang de Thau.
En route, je me fais draguer… malgré mon jean troué, mon vieux tee shirt et mes baskets éculés. Je voudrais bien avoir des trucs un peu sexy. J’ai un petit sac de voyage avec tout ce que je possède : un peu de maquillage, une brosse à dent, des tampax pour tout vous dire, mais ni argent, ni papiers. Iris m’a dit, “Quand on possède aussi peu de choses que toi on est une femme libre…enfin, libre de m’obéir!”.
Ouais, c’est ça! J’aimerais bien être un peu moins libre et un peu plus riche!!
J’arrive devant l’hôtel. C’est un beau bâtiment, ancien et classe. La fille de la réception me regarde, pas emballé par mon look… Heureusement, j’entends, “mia?”
“Oui…”. C’est Tin-tin. “Enchanté.” Il m’embrasse. Il est sympa, la cinquantaine, chauve, avec une petite barbe.” Je lui souris, il a l’air cool.
“Iris m’a dit que tu étais habillée pour les vendanges, on va aller t’acheter des nouveaux vêtements.” “Chouette…”, Je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse!
Allez, je l’aime bien Tin-tin. On va dans le centre avec sa voiture. Il connaît la ville et Iris a du lui dire où aller. Dans la première boutique, je choisi un corsage rose tout mignon et une mini-minij-jupe. Je le fais venir dans la cabine pour qu’il me donne son avis et je me change devant lui. C’est normal, le Monsieur qui me paye des vêtements a toujours le droit de me voir tout nue et même plus.
“Tu ne mets jamais de sous vêtements?”, me demande t’il. “Jamais, Monsieur… oh… qu’est ce que vous me faites?? C’est pas très convenable, Monsieur!”, mais je le laisse faire!
Il sourit et continue à me caresser les fesses en me disant, “Appelle-moi Tin-tin, petite”.
Ensuite, j’ai droit à une veste en jean, parce que le soir, il fait frais. Dans un magasin de chaussures, je peux acheter une nouvelle paire de baskets et des sandales à hauts talons qui me font gagner quelques centimètres. Pour terminer je choisi un tout petit maillot. Je lui donne un gros baiser sur la bouche. “Merci, Tin-tin!”
Après les courses, on va pendre l’apéro. Il a une fameuse descente Tin-tin! Il carbure au pastis, petits, d’accord, mais beaucoup. Iris dit que lorsque, je bois je deviens encore plus conne que d’habitude. Donc, elle me l’interdit! Mais Tin-tin ne veut pas boire seul. Alors, je fais ce qu’il veut et je m’enfile 3 pastis, à jeun. J’ai la tête qui tourne un peu.
Après l’apéro, on va manger une bourride le long du port. Maintenant, Tin-tin carbure au Listel, vin blanc du pays, moi aussi… Il me parle requins et me raconte ses aventures…
Comme desserts, on prend une dame blanche, pour lui et une moelleux au chocolat pour moi. Il raconte des histoires… drôles… sur les blondes, enfin que lui trouve drôles, genre :
– Une blonde se balade avec ses deux chiens. Un petit garçon s’arrête en admiration devant eux.
– La bonde lui dit, “Tu veux caresser mes deux Saint-Bernard?”.
– Le petit garçon répond, “Oui, je veux bien, mais moi c’est Jacques, pas Bernard.”
Tin-tin imite d’une voix forte le petit garçon, tout en faisant le geste de peloter des nichons! Nos voisins sont surpris. C’est bête, mais le vin aidant, j’éclate de rire.
Il m’interroge aussi sur moi, mais je ne vais pas lui dire, comme Jean Philippe Smet : je suis née dans la rue, ouais, dans la rue! Ni que je n’ai jamais connu mon père, que ma mère m’a abandonnée – bah, vaut mieux pas de mère qu’une méchante. Je lui parle juste des Centres où j’ai été et des amies que j’ai eues et même des éducatrices… certaines, câlines…
Vous allez me dire, de là mon goût pour les chattes! Eh! Vous êtes psy ou quoi? J’aime les chattes, mais je ne crache pas sur les bites… euh… oui, l’image manque singulièrement de classe, c’est la faute au Listel gris! Voilà pourquoi je ne peux pas boire!
Il m’explique aussi – enfin! – qu’on a rendez vous à l’hôtel avec un autre scientifique. Le but étant de faire une sortie en chalutier afin d’échantillonner les animaux d’une certaine profondeur et d’essayer de conserver vivant un petit requin de Méditerranée, très rare en captivité.
Donc, Iris m’a dit vrai.
On rentre l’hôtel où l’autre scientifique nous attend. Ils se connaissent bien.
Tin-tin me présente comme son assistante, avec un grand clin d’oeil.
L’autre est sympa aussi, il est surnommé le Prof, car il est…ben, professeur dans une Université. Ils parlent un peu d’Oxynotus, lamellibranches, holothuries et j’en passe…
On monte dans les chambres. Tin-tin lui dit, “Si tu as envie de t’amuser un peu, viens nous rejoindre, mon assistante n’est pas farouche”.
“J’arrive dans 5 minutes.”, dit le Prof.
Bon je sens venir le plan à 3, mais je suis dans l’ambiance.
Et puis… dans la chambre, tout à coup, l’attitude de Tin-tin change radicalement.
Il sort des drôles de trucs de sa valise : une petite balle, une gamelle, des boites de conserves… Il me dit, “Déshabille-toi, mia!”. Sa voix n’est plus la même, elle est dure, autoritaire.
Le Tin-tin comique et sympa a disparu!
Il me regarde dans les yeux, son visage tout près du mien, “On va faire un jeu où il faudra obéir, tu comprends??
“Oui, Monsieur.”.
On toque à la porte, c’est le prof.
“Je lui explique les règles”, lui dit Tin-tin.
“A partir de maintenant, tu es ma chienne, tu n’as plus le droit de parler. Et si tu n’obéis pas, tu seras punie.”
Prof a sorti son sexe et le caresse nonchalamment. Oulah!!Que l’ambiance a changée! Et moi, avec mon QI de hamster qui trouvait Tin-tin si gentil, si marrant. Ce n’est plus le Dr Jekyll, c’est Mr Hyde!
Il sort de sa poche un collier de chien, en cuir clouté, pas très large. Avec une clochette au milieu… ça, ça va, c’est plutôt mignon, mais il prend aussi une revue qu’il roule très serré et qu’il maintient avec du scotch.
“Tu as bien compris les règles?” Je fais oui de la tête. Il sort de sa valise un “butt plug” avec une queue. C’est comme un gros suppositoire de plastique de 10 cm de long en forme de 8 avec un bout effilé et un bout aplati. Le plus grand diamètre fait largement le sexe de Rocco Siffredi et ça se termine par une belle queue en panache qui pend du bout aplati.
“Met toi à 4 pattes!”. Il met le plug devant ma bouche, “Lèche!”, je le mouille soigneusement. Il le met contre mon anus. Je pense : décontracte-toi, mia!! Il m’empale d’un coup. Je fais, “Aaaaaiiiiiiiiiiii!!!”. Mon anus se referme sur la partie étroite du milieu. Heureusement, que je suis sortie avec des marins!! C’est vraiment dérangeant, j’essaye de pousser pour l’expulser, mais il s’en aperçoit et me donne un bon coup sur les fesses avec la revue roulé. Je fais à nouveau “Aaaaaaiiiiiiiiiiii”, ça fait vraiment mal ce truc!
La clochette tinte à chaque mouvement que je fais.
“C’est l’heure de manger, Princesse.”
Princesse!! C’était ça ou Mirza! Je geins un peu, que faire d’autre?? Et puis manger?? On sort du resto!
Il ouvre une boite de Canigou et verse le contenu dans une gamelle. Beeuuurrrrkkkk!!! Après la bourride et le moelleux!!! Il lève sa revue. Je plonge le nez dans la gamelle… c’est dégueulasse!! Pourvu que je ne vomisse pas.
Tin-tin me dit, “Ne vas pas trop vite Princesse, si tu vomis, tu vas le regretter!” Je fais un énorme effort et j’avale… sans trop mâcher… Quand j’ai, enfin, fini, il me fait manger un bout qui est tombé de la gamelle et un peu de gelée dans le fond de celle-ci. “C’est bien Princesse, tu es une bonne petite chienne.” Il sort d’un paquet quelques biscuits pour chien qu’il me fait manger dans le creux de sa main.
“Tu as assez?”. Je gémis…
“Bien, bien, j’ai compris! Tu as assez mangé. Ces petite bête savent se faire comprendre!”. Le prof et lui rigolent.
“Maintenant, marche en remuant la queue.” Je marche à 4 pattes en remuant mon derrière. Et, oui, j’ai pleinement conscience d’être très, très ridicule. Puis, il prend une petite balle rouge toute rongée, dégoûtante, et me la lance. Je vais la chercher, la prends dans la bouche et lui apporte. Il me donne un bon coup de revue sur les fesses et me dit, “Plus vite!!”
Je repars en gémissant et je cours à 4 pattes le plus vite possible. Ma clochette tinte sans arrêt. Il lance la balle aux 4 coins de la pièce. Le prof est ravi de me voir courir à 4 pattes les fesses en l’air. “T’es champion pour le dressage”, dit-il.
Tin-tin sourit modestement. Le lancer suivant, j’ai un peu de mal à prendre la balle sous un fauteuil!! Il se lève et me frappe sur les fesses à plusieurs reprises. Là, je pleure vraiment comme une chienne et comme une fille!!
Ça fait un mal de… chien! Je gémis et je cours le plus vite possible. Je suis toute en sueur. Je tire la langue en haletant… Je lèche sa main quand je ramène la balle. Ça a l’air de le satisfaire. “Fais la belle”, me dit-il.
Je me redresse en levant les pattes avant. Il me caresse la tête, “C’est bien Princesse!”
Je le regarde avec soumission. Il me caresse la joue. Je lèche ses doigts à nouveau.
“Tu vas aller faire plaisir à mon ami! Avec la bouche, tu comprends Princesse?” Je fais un gémissement… affirmatif.
Ouf, si ça part en sexe, c’est bientôt la fin. Je vais à 4 pattes entre les jambes du prof. Son sexe est tout congestionné tellement, il est excité. Il est près de jouir, je le vois. Je lui lèche les couilles, j’ai le nez dans ses poils, il sent fort la transpiration…
Tin-tin vient derrière moi. Aie! Je sais ce qu’il va faire : enlever le plug. Heureusement, il est content de sa chienne et ne l’enlève pas trop brutalement. Ouch!! Je le sens bien ressortir, quand même!! Il le remplace par son sexe, là, ça va, je suis toute ouverte pour l’accueillir. Le prof n’y tient plus jouit dans ma bouche, j’avale tout. Je suis bien dressée!!
J’ai un bon maître sévère mais attentionné, aussi. Tout en me baisant, il glisse une main entre mes cuisses, sur ma chatte. Ben oui, une chienne a une chatte. Toute mouillée en ce qui me concerne. Il me caresse, bien et la chienne en moi, jouit…
Tin-tin ne jouit pas, mais se retire et s’assois. Il me montre son sexe du doigt, “Ton dessert, Princesse!” Bèrke!! Je vais lécher son sexe… sale. Ni la chienne, ni la fille n’apprécient! Pour tout dire, on préfère encore le Canigou!! Il me regarde… lécher son sexe sale. “Prends-le en bouche”, me dit-il, “et avale tout, Princesse… sinon… ooohhh…oooouuuuiiii!!!”. Princesse avale tout.
Bon, après ça… les hommes se rajustent. Moi, j’attends, obéissante.
Tin-tin me caresse la joue, “Tu peux parler maintenant. Je dirai à Iris que tu as été une petite chienne très obéissante.”
Le prof retourne dans sa chambre. Tin-tin et moi on se couche. Il me dit, “Enlève ton collier, sinon tu vas sonner la nuit, s’il me prend l’envie de te tirer!”
*** ***
Le lendemain matin, je suis réveillée par Tin-tin, “Toc-toc!!”, dit-il, en cognant mes fesses avec sa bite. “Bonjour, mia…le petit coup du matin?”.
Bof, je ne suis pas du matin, mais bon, je fais un effort et je joue le jeu, “Oh oui, avec plaisir”.
Je tends mes fesses et lui prête un derrière distrait. Au moment où il le faut, je fais, “Oh oui, oh oui, c’est booon….”, tout en jetant un coup d’oeil à ma montre.
7 h du matin! Il est matinal l’a****l!
Il jouit… moi, je fais semblant…
Il me dit, “C’était bon, hein??”. “Suu-peerr!”, je réponds!
Petit déjeuner avec le prof. Ils parlent de la sortie en mer.
On a des choses sérieuses à faire. On va au port et on embarque sur un chalutier “Le Ressac”. C’est un bateau de taille moyenne avec un capitaine et deux hommes d’équipage, des solides gaillards. Le capitaine doit approcher la soixantaine, un des hommes d’équipage aussi. Le plus jeune a une vingtaine d’année à tout casser. Plus jeune que moi, sûrement.
Pour l’occasion, j’ai mis un petit maillot, pour pouvoir bronzer et au dessus, le top et la minijupe. Le tout, cadeaux de Tin-tin.
On vogue… Il fait très beau, mais à cette heure matinale, le vent est frais. Pour se réchauffer et parce qu’il a une fameuse descente, Tin-tin a prévu des provisions, genre Ricard, whisky, vodka…Le matin, c’est spécial.
Deux heures plus tard, on arrive sur les lieux de pèche. Pendant plusieurs dizaines de minutes, le filet racle le fond. Quand on le remonte, le bruit est assourdissant. Pour finir, une grosse poche, la fin du filet, se déverse sur le pont du bateau. En sort une masse grouillante de poissons, crustacés, coquillages, algues.
On pêche à la bonne profondeur et il y a déjà deux des petits requins qu’on cherche. Tin-tin et le Prof s’affairent à les placer dans des récipients spéciaux.
Les deux pêcheurs trient les poissons et les crustacés. Normalement, ils rejettent à la mer tout ce qui n’est pas monnayable, mais aujourd’hui, ils mettent tout dans un coin afin que les scientifiques gardent ce qui les intéresse. L’ambiance est cool parce que l’université du Prof participe largement aux frais.
Ce qui fait, qu’ils s’arrêtent de temps en temps pour boire un coup. Je les accompagne et on a déjà vidé la bouteille de Ricard.
Il commence à faire chaud et je me mets en maillot.
J’essaye de m’intéresser à ce que cherche Tin-tin, mais, ça l’énerve plus qu’autre chose. Même les questions que je pose, genre, ” C’est quoi ça? C’est végétal ou a****l ? Et ça, c’est comestible? Ça pique? Ça mange quoi, un oursin??”
Comme, il me répond à peine, je décide de mettre un peu de poésie dans mes questions, genre, “Est-ce que les étoiles de mer, elles sont tombées du ciel?”
C’est mignon, non? Ben, on dirait que non, car le méchant Tin-tin refait surface!
Il me prend par une oreille, c’est dingue cette manie, et m’amène chez les 2 pêcheurs qui trient les prises.
“Les gars, cette gamine nous casse les pieds, faites la travailler, dur de préférence!”
Le plus vieux demande, “Comme un mousse?”
“Voilà,” répond Tin-tin, “comme un mousse, à l’ancienne!”.
Moi je suis là, à me frotter l’oreille…Mousse à l’ancienne? C’est quoi, ça???
Oh, ils ne demandent pas mieux qu’avoir un mousse. “Pour le faire travailler et pour s’amuser ensuite”. Aaah…
Ils me montrent d’abord les poissons dangereux : la torpille qui vous envoie une méchante décharge, la pastenague qui a un aiguillon venimeux à la base de la queue et les rascasses aux épines venimeuses, elles aussi.
Chouette ambiance, car, on bit en douce, des petits coups de vodka.
Je trie les poissons, en rigolant avec eux.
Le jeune se met à me lancer des petits projectiles, puis des plus gros… moi je riposte, on se marre bien! Le Capitaine de sa cabine gueule, “Arrêtez de faire les cons, merde!!”, mais, je crois que mon petit maillot lui a tapé dans l’œil et il ne râle que pour la forme. J
Je les aide aussi à ranger les casiers de poissons et de crustacés. Comme un vrai mousse– oui, mais, je me demande toujours, c’est quoi à l’ancienne???
On continue à pêcher, le filet se déverse et on trie les poissons. Après la vodka on a attaqué le whisky et je me sens en pleine forme. Le plus jeune prend un concombre de mer et fait semblant de le sortir de sa braguette. “Presse-le!”, me dit il, en me montrant la base du concombre. Au moment où je le fais, un long jet d’eau en sort. (authentique!) Rire général : c’est de l’humour de pêcheurs!
Après ça, alors que je me penche pour att****r un grondin, il tire sur ma culotte et me met des petits poissons tous frétillants dedans. Cris de ma part, “Héééé!! Ça chatouille!!”. Je baisse ma culotte pour enlever les poissons. Là, j’ai un franc succès, même le capitaine nous crie depuis sa cabine, “J’en ai déjà vu de toutes les couleurs, des raies, mais celle là c’est la plus belle!”
Ambiance de plus en plus relax, la boisson aidant.
Quand on a fini de trier le dernier filet, je suis couverte de jus de poisson et d’écailles. “Attends, le mousse,” me dit le jeune, “Je vais te rincer.” Il prend un tuyau relié à une pompe qui envoie de l’eau de mer. Je dois enlever mon maillot qui est tout sale et je tourne sur moi-même, toute nue, sous le jet d’eau froide. Brrrr!! Ça réveille!! J’ai la chair de poule et je pourrais rayer un carreau avec le bout de mes nichons!
Du coup, même les scientifiques s’arrêtent pour me regarder. On me sèche avec une serviette, mais impossible de bien rincer le maillot. Comme je ne peux pas rester toute nue, ce ne serait pas convenable, je remets le top et la mini jupe. Je vous ai dit qu’il y a une petite brise?? Ma jupe s’envole régulièrement, pour la plus grande joie de tout le monde.
Le capitaine m’appelle de sa cabine. Aïe! Il va peut être me passer un savon… Mais non, il me dit, “Je vois que tu aimes donner un coup de main, tu veux conduire le bateau??”
Ah ça oui, bien sûr, je veux! Je m’installe derrière la barre. Une vraie barre qui tourne comme dans les bateaux de pirates. Il est derrière moi et il met ses mains sur les miennes, pour me montrer comment faire. Un peu comme on montre à quelqu’un comment jouer au flipper en se collant à lui, pour diriger la bille en donnant des petits coups de reins.
Je sens le sexe du capitaine dur et dressé contre mes fesses. Je lui dis, “Eh!! Je sens quelque chose, capitaine.”
“C’est de ta faute, si j’ai la gaule, petit mousse”. Oui, ça, c’est un peu vrai. Il continue, “Ne bouge pas tes mains sinon on risque de chavirer”. Il me prend vraiment pour une… blonde! Chavirer!!…N’empêche, je fais gaffe!
Il en profite pour lâcher mes mains et caresser mes fesses nues sous ma jupe. Bon, le Ricard et la vodka aidant et puis mon tempérament…curieux, je le laisse faire. D’ailleurs, je ne peux pas lâcher la barre, la vie de l’équipage est quasi entre mes mains… J’écarte un peu les jambes, il me caresse la chatte… Impossible pour une fille qui a du tempérament de cacher qu’elle est…émue. Ma chatte toute mouillée me trahit et ses doigts glissent tous seuls en moi.
On est en hauteur dans la cabine, mais les deux autres pêcheurs nous regardent en rigolant. Les scientifiques, eux, récoltent des choses bizarres sur le pont.
Le capitaine sort son sexe et me dit en me prenant par les hanches, “Allez penche-toi!”. C’est quand même le seul maître à bord après Dieu, alors, j’obéis. Il met son sexe dressé entre mes fesses. “Hé!! Pas par là Capitaine!”. Mais il accentue la pression en disant, “C’est toujours par là avec les mousses”. Aïe!!!! Je la sens bien passer sa barre!! Je me retrouve avec 20 bon cm de Capitaine en moi.
Au lieu d’apprécier ma docilité, il me dit, “Allez remue ton cul, petit feignant!!”
Ma parole, il se croit encore au temps des galères ou quoi Mais bon, puisque c’est la coutume dans la marine… J’accompagne ses mouvements du mieux que je peux tout en tenant la barre, le regard fixé sur la mer pour éviter les …euh … icebergs ou les…baleines….
Le Capitaine me baise à grands coups de bite, ressortant presque à chaque fois. Franchement, il fait ça bien! Hélas, il ne se préoccupe pas de donner du plaisir au mousse et trop rapidement, je sens qu’il va… larguer les amarres. Après quelques coups de reins encore plus énergiques, il reste enfoncé à fond et jouit en moi.
Il reste immobile un moment, puis se retire en disant, “Tu peux lâcher la barre, il y a le pilote automatique.”
Ah la la!! Les hommes! Ils sont prêts à tout, même à vous mentir, pour vous en…. euh… emberlificoter!
Quand je reviens sur le pont, Tin-tin discute avec les 2 pêcheurs.
Il me dit, “Dis donc le mousse, pour te faire sauter tu es toujours prête, mais tu as mal fait ton boulot : tu as mis des mulets avec les maquereaux et des castagnoles avec les pagres!”.
Je dois avouer que par moments, je n’ai pas fait très attention.
“Il a picolé, le mousse et ça, c’est pas sérieux”, dit le vieux.
“Elle mérite une bonne fessée”, répond Tin-tin, “Il y a un volontaire? Moi, je dois continuer à trier”.
BLINK!!! Une énorme lueur d’intérêt s’allume dans les yeux des deux pêcheurs, fesser un mousse, qui en réalité, est…une mousse, tu parles, qu’ils sont d’accord! Je prends la main de Tin-tin et lui dis, “Je ferai attention, je vous le jure!”
“Trop tard, mia, tu as salopé le travail, tu vas être punie!”
Il se tourne vers les pêcheurs, “Donnez lui 20 claques chacun”, dit Tin-tin.
Ppppfff… je pousse un gros soupir… c’est quand même toujours moi qui l’ai dans ou sur le cul!!
Le vieux m’att**** par un bras et me couche sur ses genoux.
Il relève ma jupe et tout le monde regarde mes fesses, même les goélands dans le ciel, je parie. Il prend un paquet d’algues qui se trouve sur le pont et le frotte sur mes fesses jusqu’à ce qu’elles soient bien mouillées. Puis, il lève sa grosse main qui vient claquer sur mes fesses mouillées. “Aaaiiiieeee!!! ouiiiillle!!!” Il a une de ces poignes et ses claques me font vraiment mal. Je le crie bien fort, “ça fait maaaaaal!!!”. Il me fesse à toute vitesse et en quelques minutes, c’est fini. Je me relève en pleurnichant! D’une main je me frotte les fesses et de l’autre les yeux. Sur les fesses mouillées, ça fait nettement plus mal. Elles sont brûlantes maintenant. Je regarde Tin-tin, “Je ferai attention, je serai sage…”.
Il me sourit, “On n’est qu’à la moitié, mia…”.
Je demande au jeune, “S’il vous plait pas trop fort. Je serai… euh… très gentille”.
Il me répond, “Tu le seras de toute façon, puisque tu es le mousse”.
Il me couche à son tour sur ses genoux et il pose sa main sur mes fesses. Je les serre d’appréhension et puis je les relâche avec soumission. Je ne sais pas s’il joue à ça avec sa copine, mais il sait y faire. Il lève la main. Je vais à sa rencontre, pour que ça tombe de moins haut. PAF!! Sur mes fesses déjà rouges, ça claque et ça fait mal. “Aiiiie, aiie!!”. Mais il a autant de compassion pour moi que pour une girelle qui se tortille sur le pont du bateau. Il espace ses claques de quelques secondes, le temps pour mon cul se serrer puis de s’offrir, inconsciemment. Et les autres de compter en chœur :
“1”. Moi : “Aiiiie”.
“2” “Ouille, aie”
“3” “ça fait maaal!!!”
Si on était dans une bd, les étoiles de la douleur se mettraient à scintiller autour de mes fesses toutes rouges.
Les scientifiques comptent aussi et applaudissent… Cette deuxième fessée fait vraiment mal et je piaille comme un… congrès de moineaux! Mon derrière danse dans tous les sens…
Enfin… “20”, ils gueulent tous. Le jeune me fait me relever. Je me frotte les fesses à deux mains en pleurnichant.
Il dit, “Tu n’as rien à me dire?”.
“Merci, Monsieur”. Je murmure, en baissant les yeux. Il me prend par le menton, me relève la tête, “Plus fort, il faut que tout le monde entende!”. Toute rouge, en tout cas un peu les joues et beaucoup les fesses, je répète bien fort, “Merci, Monsieur de m’avoir donné une fessée”.
Évidemment, les autres se marrent, le félicite, genre, “Comment il a maté le mousse, le p’tit gars!!”.

Le jeune pécheur dit aux autres, “Je vais lui montrer… euh…”
Le vieux le coupe, “Te fatigues pas, on sait ce que tu vas lui montrer!!”
Il m’entraîne à l’arrière du bateau où on est un peu plus tranquille. Il me dit, “Je veux que tu fasses ça bien, le mousse, sinon…”
D’accord, mais plus de fessée! On s’embrasse. Il sent le poisson mais sa bouche est fraîche et sa langue douce. Je m’agenouille et sors son sexe. Oh la! Il est très excité.
J’embrasse le bout mouillé puis je tire sur la peau, son odeur est forte et marine, logique. Je le prends en bouche… Je le suce un peu, mais rapidement, il me relève et je me penche sur le bord du bateau, jupe relevée, jambes écartées. Son sexe est tout de suite contre ma chatte qui est… plus mouillée que… la mer qui nous entoure.
Les manœuvres du Capitaine m’ont bien allumée, mais en me laissant sur ma faim, ce coup ci le mousse réclame sa part du butin!
Pêcheur, c’est manuel comme boulot et en plus, malgré son âge, il baise aussi bien qu’il fesse (un surdoué!)…Il me tient fermement par les hanches et je sens mes fesses toutes chaudes contre sa peau fraîche.
En plus, il me pince le bout des seins… et je suis très sensible des tétons!
Il dit, “Je vais tout lâcher en toi!”. Là, c’est le mâle qui parle et la femelle en moi répond, “Ouuuiii!! Inonde moi… je suis en pleine ovu – la – tiooon…”.
Ce genre de chose, on ne peut pas dire les dire impunément, c’est trop… Je sens son sexe gonfler et mon vagin se contracter pour faire jaillir tout le sperme possible et le sucer avec mon utérus… Il pousse des grognements, moi je gémis presque aussi bruyamment que sous la fessée…
Pour faire simple : on prend un super pied ensemble à la gloire de la… perpétuation de l’espèce!
Il se retire et crie, “Paco, c’est à toi!”.
Eh, oh!! On me prend vraiment pour…euh… un mousse à l’ancienne! Il me donne une claque sur les fesses. “Aiiie, noooon!!”.
“Pas bouger!!”, me dit-il. Oh non, je ne vais pas bouger, mais plus de fessée!!!
Le vieux arrive, la bite au vent et aux embruns. Et paf (!), sans un mot il s’enfonce dans ma chatte… Eh! Fais comme chez toi!! Mais, il est un peu moins bien monté que le jeune et puis je suis très mouillée, d’autant plus que je viens de me faire bien arroser…
“Putain de merde!” grogne t’il, “Je sens rien!”. Bon… je sais ce que ça veut dire, c’est mon cul qui va devenir la cible!
Heureusement, le Capitaine a déjà ouvert… la voie… Ouch!! Je le sens quand même bien passer!
Il a un bon coup de rein, le vieux loup de mer et moi, malgré mes déclarations… d’allégeance et de… fécondité à son jeune collègue, j’y réponds comme une… mousse en chaleur…
Il m’att**** bien par les hanches et dit, “T’aimes bien te faire enculer, hein, petit mousse?”.
“Oui, Monsieur.”.
Et voilà… je me laisse aller et je reprends mon pied… Lui, aussi. Après quelques soubresauts, il se retire… et rabat ma jupe qui était autour de ma taille, voilà, ni vu ni connu… Enfin si, par les quatre autres qui sont venus assister au spectacle et y vont de leurs commentaires en rigolant…
“Bravo, le mousse!”, dit le Capitaine. Ça me fait plaisir.
“Quelle salope!!”, dit un pêcheur. Bah, ça aussi!
J’ai un petit coup de mou… pppfff… le métier de mousse, faut de la santé, mais ça a des bons côtés, genre côté pile! J’aide à nettoyer le pont avec le jet… Malgré, qu’ils connaissent mon cul…intimement, le capitaine, les pêcheurs et même Tin-tin et le Prof sont toujours aussi intéressés quand un petit coup de vent soulève ma jupe.
C’est vrai qu’ils m’ont tous tirée. Ben, oui, je ne suis pas trop farouche en temps normal, alors, en mousse…
On arrive au port. Ils me disent qu’il y aura toujours une place de mousse pour moi sur le bateau. Le jeune me donne un papier avec son nom et son téléphone…
En débarquant, je fais attention que ma jupe ne vole pas. Ce n’est pas que ça me dérange de montrer mes fesses, mais ça me gêne quand elles sont toutes rouges!

A suivre…

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