La reine Margo – 10

Big Tits

La reine Margo – 10
L’arrivée de l’armée chrétienne

Affamé toutes les deux, ont fini nos assiettes au complet jusqu’à les lécher, le nez dedans. La rousse m’aida ensuite à me relever, car ce n’est pas évident avec les mains attacher dans le dos. Elle prit ma laisse et m’entraîna au travers des tables vers la roulotte sous les moqueries des convives, car je portais toujours ce ridicule nez de cochon dégoulinant de gras et de bouffe. Quant à Jeanne, je vis qu’on l’emmenait ailleurs. Ma nièce qui avait enlevé son masque me fit un gros sourire et me souhaita bonne nuit avant d’être emmenée par Marie hors de la salle sans trop rechigner. Je me doutais bien pourquoi. Marie avait dû lui promettre de la rejoindre au lit cette nuit.

Une fois seule avec la rousse dans la roulotte, éclairer par une multitude de lampions colorer, elle prit un linge pour essuyer mon visage, mes seins et mon nez de cochon en carton-pâte tacher de bouffe, puis elle me regarda avec envie en se branlant. Voir une si belle femme, grande, svelte avec des seins lourds et surtout un sexe d’homme et de belles couilles sans poils me mit le feu au ventre. Je la trouvais si désirable avec sa peau pâle couverte de taches de rousseur et sa chevelure de feux que je mourais d’envie de sentir son sexe en moi. Elle m’enleva le gode en ceinture, j’en avais mare de le porter de toute façon.

-Détache moi ma belle, dis-je avec ma voie ridicule à cause de ce maudit faux nez.
-Toi, ma jolie petite cochonne tu te tais, fit-elle amuser en jetant le gode par-dessus son épaule, tu n’es qu’une esclave ici, tu n’es plus une reine.

Elle me pinça les mamelons un moment avant de me les téter obséder par ma grosse poitrine puis me plaqua contre la porte par les épaules en m’embrassant à pleine bouche tout en me caressant le sexe un doigt en avant a me rendre folle, surtout que je ne pouvais pas la toucher. Ça, c’était une bien vilaine petite torture. Puis elle s’amusa à frotter sa poitrine contre la mienne et à m’embrasser encore et encore ou me lécher tout partout surtout mes tétons devenus si gros et si sensibles. Exciter, je me mit frissonner en gémissant. Malgré mes supplications, elle refusa de me délier les mains et quand sa belle queue fut bandée dur, elle m’écarta les jambes avec un pied pour me pénétrer en douceur. Puis, elle me baisa la, contre cette foutue porte, joue contre joue, seins contre seins pendant qu’on entendait rires les invitées, de Jeanne sans doute. Tout en gémissant en lâchant des ; ah oui… ah oui.., ouf… C’est bon, continue ma belle… je me demandais ce que l’on pouvait bien faire à l’autre petite cochonne.

Je trouvai ça très étrange de me faire prendre par une femme avec une vraie bite, de sentir ses seins frotter contre les miens et son beau membre aller et venir dans mon sexe détremper. J’aurais tant aimé être sur le dos avec les mains libres pour pouvoir caresser son corps, palper ses jolies fesses et ses seins, mais je dus me contenter de son sexe s’agitant en moi de plus en plus vite. Je me mis rapidement à gémir beaucoup plus fort à son oreille jusqu’à ce qu’elle jouisse sans dire un mot, trop rapidement, sans me laisser le temps de jouir aussi. Elle grogna de plaisir en déchargeant tout ce qu’elle avait dans mon vagin, comme un homme. Puis, essouffler, les joues rougies, elle dit en me fixant droit dans les yeux :

-Vraiment trop bandante la belle reine Margo !

Puis, elle sortit son sexe pour le presser contre mon pubis tandis que son sperme s’écoulait de mon vagin. Je me sentais vaseuse, mais si bien.

-Vient me visiter demain, dans mes appartements la rousse. Cette fois je ne serait pas attachée. Dis-je avec cette maudite voie ridicule.

Mais, je n’eut droit qu’a un sourire énigmatique comme réponse suivit d’un baiser passionner qui me tourna la tête tellement ces lèvres étaient douces. Ensuite elle me ramena dans la salle ou une grande toile cirée avait été posée sur le sol de la piste et copieusement arrosée d’huile. J’y vis une mêlée affolante de corps nus de gens normaux et de monstres en train de se frotter et de baiser. L’on me détacha, m’enleva le nez de cochon et je fus poussé dans cet amas de corps éclairer par de grands flambeaux.

Très vite je me retrouver au centre avec Jeanne, baiser par le cul, le con et la bouche presser de toute part par des corps glissants d’homme et de femme plus ou moins étranges. J’eus plusieurs orgasmes, j’eus même deux bites dans le vagin en même temps. C’était délirant, épuisant, mais drôlement excitant. Dans la mêlée je finis par me retrouver en 69 sous une naine très ronde que je n’avais pas encore vue et toujours baiser de partout. Elle semblait avoir un sexe d’enfant qu’une grosse bite pénétrait tandis que je caressais ses jolies petites fesses dures en lui passant un doigt dans le cul.

La foule s’éclaircit peu au fur et à mesure que de petits groupes se retiraient vers les chambres ou les alcôves du château. J’aperçus Jeanne en 69 avec une grosse fille. Elle était au-dessus et se faisait enculer par un nain tandis qu’un autre baisait la femme. J’étais si épuisé que mes yeux se fermaient tout seul les lèvres arrondit par une bite qui allait de ma bouche au con et au cul de la naine. J’eus vaguement connaissance un peut plus tard que l’homme-loup me baisa et que je trouver sa fourrure mouillée d’huile si douce ainsi que la femme a deux têtes, les deux me tétant les mamelons en même temps ou me léchant le sexe coucher en 69 sur moi tandis que je léchais le sien ou la pénétrait avec mes doigts. Je fis de mon mieux pour lui procurer du plaisir pendant qu’une queue allait et venait dans son beau cul. Je léchais couille et con en jouissant encore, parfois. Chaque orgasme me vidait peut a peut de mon énergie. Quelques nains et le géant obèse me passèrent dessus et bien d’autre et… je finis par m’endormir, ou m’évanouir, trop d’orgasmes sans doute.

Le lendemain matin

On me tapait sur l’épaule, je sortis des limbes difficilement en clignant des yeux. Je grimaçai à cause du soleil qui entrait en abondance par les grandes fenêtres de ma chambre dont les rideaux étaient ouverts. Je tournai la tête pour apercevoir ma sœur, nue sous les draps avec moi qui me regardait tout sourire couché sur le flanc. Ses beaux yeux étaient rouges de fatigue et ses cheveux crêper en chignon.

-C’est le matin Margo. Bon Dieu que tu as ronflé cette nuit.

Elle rit en me collant, glissant une jambe sur les miennes une main sur mon sein droit en me baisant la joue. Son odeur parfumée me monta au nez. Elle avait dû se baigner. Je caresser sa cuisse si douce en me sentant tellement bien comme a chaque fois que je me retrouvais au lit avec ma sœur, mais toujours épuiser.

-Je, je me rappelle vaguement m’être endormie en pleine orgie.
-Oui, tu nous as fait peur, on te pensait morte.
-Ah oui, dis-je en grimaçant tant j’avais les muscles des jambes et du dos raidit. J’ai mal partout ma petite sœur ! J’ai les reins en compote.
-Eh… oui… Moi aussi.
-Pourquoi cette hésitation dans ta réponse, toi ?
-Rien, pourquoi ?
-Tu me caches quelque chose ?
-Mais non.
-J’ai mal au crâne, trop de vin sans doute. J’ai été lavé ?
-Oui ! L’hercule de la foire nous a aidés Marie et moi a t’emmener au bain. On ta laver et tu ne tes même pas réveiller, même que tu marmonnais, je ne sais trop quoi. C’était trop drôle. Je t’ai fait examiner par la sorcière tellement on était inquiète, mais elle a déclaré que ce n’était que de l’épuisement et qu’elle t’amènerait une tisane ce matin pour te redonner des forces. On ta sécher et amener au lit. Ta sorcière a un sacré coup de langue, on a baisé ici pendant que tu ronflais en riant comme des folles toutes les deux chaque fois que tu marmonnais.
-Seigneur ! Merci pour la compassion.
-De rien chère sœur. Et la rousse avec une bite, elle ta bien baiser ?
-Oui, mais un peut vite et toi ?
-Oh oui, pendant l’orgie et pas trop vite.

Je lui fis une grimace qui la fit rire aux éclats.

-J’espère qu’elle est encore au château pour qu’on remette ça Jeanne.
-Les forains sont partit Margo, désoler. Quelle soirée incroyable non ?
-Ça tu peux le dire. T’as été baiser par la femme à trois seins un pénis et un vagin ?
-Hein ! Non, pas vue celle-là. Elle avait les deux sexes ?
-Oh oui et parfaitement fonctionnel. E l’homme-tronc.
-Ben voyons, non. Même pas vue non plus. Il n’avait pas de…
-Non, mais j’ai jamais vu un gars si habile avec sa langue. Et la naine ?
-Celle la oui. Ah ! J’oubliais Margo, pas de baise de la journée pour toutes les deux, on a le vagin irriter a se qu’il paraît et le cul aussi. Ordre du médecin et de Mara.
-Bon, on va s’ennuyer toute la journée. Et ta fille, de bonne humeur ?
-Non, une vraie furie ce matin parce qu’elle a dû dormir avec la ceinture de chasteté, jusqu’a ce que j’ordonne a Marie de lui enlever et de lui lécher tu sais quoi. Ça la calmer, ensuite elle l’a emmené en ville pour lui acheter des robes et des bijoux. J’ai donné des écus aux deux pour qu’elle se gâte un peu. Marie l’avait bien mérité pour la soirée d’hier. Alors ma grande sœur, dit-elle en posant sa tête sur mon sein gauche on va relaxer toutes les deux au lit et bien se collé. On ne peut pas se faire baiser, mais ce n’est pas interdit de se masturber ou de se lécher, tu sais quoi, pour passer le temps. Serre-moi plus fort Margo. Je le fis en disant :

-On est trop bien et se serait trop beau de ne pas être dérangé et je suis affamé.

On venait à peine de commencer a ce frotter langoureusement en se frenchant qu’on frappa a ma porte. On soupira toutes les deux longuement avant que je ne crie :

-Entré !

Le capitaine de ma garde se présenta, en tenu de combat suivit de mon vieil intendant visiblement très nerveux. Ça, ça n’annonçait rien de bon. Jeanne me lâcha à regret pour rouler sur le dos. Je m’assis dans le lit en calant des oreillers contre mes reins vraiment douloureux.

-Bon, j’imagine que ce sont de mauvaises nouvelles, dis-je en croisant les bras sous mes gros seins, les gonflant.

Les deux hommes déglutirent, ce qui me fit sourire comme d’habitude. Voir des hommes fondre juste à la vue d’une belle paire de seins, j’ai toujours trouvé ça touchant.

-Une petite armée de 250 hommes environ et sans machines de guerre, est cantonné dans un champ a l’entré de la ville ma reine, annonça le capitaine nullement énerver en caressant son bouc au menton. Des chrétiens et apparemment sûr de l’emporter facilement, je ne sais trop pourquoi. Pourtant, ils doivent savoir qu’il nous suffit de fermer les portes de la forteresse pour qu’il se gèle le cul tout l’hiver dans ce champ. J’ai envoyer des hommes rassurer la populace et leurs dire de ce préparer a un siège, au cas ou. Dans l’ensemble tout le monde est plutôt calme.
-Déjà là ces maudits chrétiens, dis-je dents serrer, ils ont fait vite.

Les deux se regardèrent intriguer.

-Tu savais qu’ils allaient venir, fit mon capitaine.
-Je les attendais, mais pas si vite.
-Ah, fit-il les yeux petits, je comprends maintenant pourquoi elles sont la, toutes ses jolies filles.

Je me contenter de lui faire un clin d”oeil complice et mon surintendant dit :

-Le général De LaSalle commandant cette armée et l’archevêque de Terryville sont déjà au château et demande a vous voir. Ils sont venus seuls, sans garde rapprocher, ce qui est plutôt bon signe a mon avis, quoique téméraire. Savez-vous ce qu’ils veulent ?
-Oui, je m’en doute et non, ce n’est pas bon signe et oui c’est téméraire. Dis-leur que je m’habille et que j’arrive. Mais qu’ils attendent debout ses trous du cul, ne leur servez rien. Qu’ils patientent dans la petite salle des tableaux et dit à mes servantes de venir me préparer au cabinet de beauté.
-La petite salle des tableaux, hum, je vois, fit-il tout sourire. Mais d’autres visiteurs désirent vous voir en premier, ceux-là disent aussi que c’est vraiment important, que tu dois les rencontrer avant les autres. Apparemment, ils étaient venus pour le carnaval incognito de Nantes, majesté.
-Qu’en penses-tu ? Demandai-je.
-Je pense que votre tour de poitrine ma reine n’a d’égale que votre esprit tortueux.

On le regarda tous en souriant.

-Alors, je repose ma question mon vieil intendant a la langue bien pendue.
-Bien, je les connais et ce sont des personnages importants et aussi des chrétiens. Vous devriez effectivement les rencontrer avant.
-Ah, je vois, je crois savoir de qui il s’agit. D’accord qu’il soit bien reçu ceux-la. Et toi Rutack, va dire aux jolies blondes nordiques que je dois leur parler avec toi et avant de rencontrer mes invités. On va se faire un conseil de guerre puis discuter avec les chrétiens de Nantes en mangeant tranquillement, je suis affamé. Si mon intuition est bonne, on a une chance de tous les diables mes amis. Hum, de bonnes pâtisseries de mon amie Blanche et de son mari, ce serait trop bon.
-Je dois mettre ton armée sur le pied de guerre et fermer les portes de la forteresse après y avoir fait entré la populace et avoir envoyer quelqu’un te chercher tes pâtisseries, Margo ?

Je rie avec Jeanne qui essayait de suivre la conversation, intriguée.

-Non, pas la peine, sauf pour les pâtisseries, évidemment.

Ils me regardèrent en soupirant avant de sortir. Me connaissant depuis de nombreuses années, ils savaient bien que je savais ce que je faisais. Que je ferais tout pour protéger les gens de mon royaume avant même de songer à sauver… mes si belles fesses.

-Ça, ce n’est vraiment pas bon signe, fit Jeanne inquiète, ma fille est en ville avec Marie.
-Calme toi, elle ne risque rien, fait moi confiance. Maudit mal de tête.
-Tu veux que je vienne avec toi  ?
-Non, repose-toi ma petite sœur, dis-je avant de lui donner un baiser et de me lever en me frottant les reins. Mais mon dos me fit si mal tout à coup que je rester la, a grimacer, figer sur place. Jeanne dut ce lever pour venir me soutenir en posant mon bras sur ses épaules pour ensuite me prendre par la taille. Elle en avait l’habitude, ce n’était pas la première fois que je souffrais du dos.
-Merde, Jeanne, j’ai les reins barrés et c’est pas le moment.
-Bon, je vais venir avec toi, à moins que tu ne préfères une bonne vieille canne pour faire ton entrée royale dans la salle du trône ?
-Seigneur non, j’aurais l’air de quoi ?
-D’une vieille reine qui devrait ralentir les orgies.

Je lui fis une grimace avant de rajouter.

-D’accord viens, mais, quand on va rencontrer le général et l’autre, je veux que tu sois debout, à côté de moi, et que tu restes absolument impassible, quoi qu’il arrive.
-A tes ordres, la reine.
-C’est de manger les mains attacher dans le dos avec ce maudit nez ridicule qui ma barré les reins probablement et la cage.
-Eh… Fis Jeanne en se mordillant une lèvre tandis qu’on se dirigeait vers le couloir a petit pas.
-Eh, quoi ?
-Ben, on t’a échappé en te sortant du bain, sur le dos justement, ça doit être plus pour ça à mon avis. Mais rassure-toi, ta tête va bien, ça n’a pas trop saigné, désolé.
-Ma tête, ou ça ?

Je voulus vérifier, mais impossible de lever le bras sans crier de douleur.

-T’as juste une petite bosse, rien de grave.

Jeanne avait le gros sourire en me supportant. Même qu’elle se retenait pour ne pas éclater de rire.

-Et tu trouves ça drôle en plus. J’aurais pu me tuer, me fendre le crâne. C’est pour ça se maudit mal de tête.
-Et j’hériterais de tout. Pauvre de moi. Et puis, on l’a pas fait exprès.
-Moi je pense que oui, pour avoir le trône ?
-Non ! Je te l’ai dit, si je voulais me débarrasser de toi j’utiliserais le poison comme en Italie. C’est plus discret et plus à la mode.
-Plus a la mode mon oeil, et petite bosse mon oeil. Je me demande si mes ennemies les plus dangereux sont les chrétiens, ou toi et tes grosses boules ?
-Moi, bien sûr, et je demanderai a la sorcière de te préparer une bonne soupe quand ta petite guerre sera terminer.

Elle me regardait les yeux rieurs.

-Bon, dis-je en souriant, cette fois c’est décider, j’engage Marie comme goûteuse.
-Bonne idée et prépare-toi, v’là les escaliers.

Je lui fis une grimace en riant avec elle, mais je ne ris pas longtemps, car chaque marche m’arracha des grimaces de douleurs, au point ou un soldat vint aider Jeanne a me soutenir, trop heureux celui-là de se rincer l’oeil et de me palper les fesses au passage, car ont avaient toujours rien sur le dos.

-Dis dont soldat, tu n’en profiterais pas un peut toi ?
-Moi, juste un peut ma reine, quoi que les fesses c’est un bon point d’appui quand on veut soutenir une dame en détresse. Comme ça, on va à la guerre en mangeant des pâtisseries maintenant. Ça me plaît ça. Ma mère aussi souffrait du dos Margo, et pour se soigner elle…

Seigneur !

Un peu plus tôt…

Le général De LaSalle n’avait jamais mis les pieds dans ce royaume de perdition dont il avait tant entendu parler. Un royaume de païens apparemment porté sur la luxure ou tout le monde se promenait à poil et baisait en pleine rue, même devant leurs enfants. Le royaume des bordels et des orgies. Pourtant, quand il avait traversé la ville à cheval, sur le qui-vive car il n’avait aucune escorte, avec l’archevêque en grande tenue d’apparat, il n’avait vu que des villageois ordinaires vaquant à leur occupation comme partout ailleurs. Ils n’attiraient même pas l’attention de ses gens, ou à peine, comme s’ils n’étaient que de vulgaires voyageurs. Ça, c’était fort étrange, car l’archevêque avec sa grande toge rouge, son haut chapeau conique et son sceptre orner d’une croix en argent faisait forte impression habituellement. Puis, en franchissant les douves du château, le général avait souri méchamment en disant à l’oreille de l’archevêque qui venait de fêter ses 71 ans :

-Un mots de vous et je prends la place en un clin d’œil ; les gardes ne sont même pas en alerte ils ronfle, se dore au soleil ou joue au dé en fumant la pipe comme s’il n’y avait pas d’armé a leur frontière près a les envahir. Pourtant, la nouvelle a déjà dû se rependre à la vitesse de l’éclair, car bien des paysans nous ont vus arriver. C’est pitoyable ! Ils n’ont même pas fermé les grandes portes de cette forteresse et heureusement, car il faudrait retourner chercher nos machines de guerre.
-Discutons d’abord avec cette pute de reine, répondit l’archevêque en s’épongeant le front moite de sueur, ensuite on prendra la place et on débarrassera le pays de ces fornicateurs du diable. On en fera tous de bons chrétiens fidèles et soumis ou ils mourront. La mort du pape est une bénédiction générale.
-Bien, mais n’oublier pas ce que vous m’avez promis.
-Oui, elle sera à toi cette reine, tu en feras ce que tu voudras et de sa jumelle aussi. Mais, avant il faudra la faire parler, je veux savoir pourquoi le pape la protégeait, elle et son royaume païen.
-Bien sûr, je me ferai un plaisir de l’interroger moi-même.
-Ça, je n’en doute pas De LaSalle. Je n’en reviens pas de la chance que l’on a ce matin. J’attendais ce moment depuis si longtemps. Dit-il tout joyeux en léchant ses vieilles lèvres dessécher.
-Peut-être mon seigneur, fit-il en fixant ce château immense, le plus grand qu’il n’avait jamais vue, mais cette forteresse pourrait cacher toute une armée. Je continue à dire que l’on aurait jamais dû venir ici, surtout sans escorte.
-Fait moi confiance général, je sais ce que je fais.

Mais le général en doutait de plus en plus, étourdis par ce maudit soleil qui le faisait sueur comme un porc sous sa cotte de mailles et son plastron. Si jamais ces maudites portes se refermaient derrière eux…

Maintenant, De LaSalle rageait en grattant sa barbe grisonnante tout en faisant les cent pas dans une petite pièce sans fenêtre et très étouffante. On les avait introduits dans cette salle sans le moindre fauteuil pour s’asseoir, sans leur offrir quoi que se soit pour ce désaltérer par cette chaleur, et ils étaient la depuis presque une heure. Ils avaient mal aux genoux à cause de son barda de guerre lourd à porter. Il finit par s’asseoir par terre comme le prête en regardant des tableaux de rois et de reines ayant gouverné ce royaume. Des portraits si réalistes qu’il avait l’impression que tous ces gens le regardaient et cela le mettait de plus en plus mal à l’aise.

-On aurait du venir avec des gardes, rugit-il pour la dixième fois. J’ai l’impression d’être un rat en cage ici. Ils ont eu tout le temps voulu pour se préparer à la guerre maintenant.
-Mais non, jamais elle ne s’en prendrait a un archevêque. Calmez-vous. La vengeance du concile serait terrible et elle le sait très bien. L’armé de dieu viendrait raser la place et serait sans pitié comme on le sera tout à l’heure et baisser le ton, on pourrait nous entendre de derrière ses portes.
-Ce serait déjà fait si vous m’aviez écouter, murmura t-il, et ont ne seraient pas la a attendre son bon vouloir. Je serais même déjà en train de l’enculer cette salope et sa putain de sœur avec.
-Calmez vos ardeurs mon ami. Fit le prêtre en lui tapant un genou.
-Pourquoi tant vouloir venir ici et lui parler avant d’envahir la place ? On avait l’effet de surprise.
-Pourquoi verser le sang quand on peut prendre ce que l’on veut avec seulement quelques paroles bien tourner ? Elle n’a plus la protection du pape, je le répète. Elle doit trembler de peur maintenant avec votre armée à sa porte. Elle doit tourner en rond en se demandant comment elle va s’en sortir cette pisseuse. Elle a peut de soldats selon mes espions, une petite centaine et ils ne font que baiser des putes. Si elle savait à quel point mes mensonges apaisants allaient la faire souffrir, elle se trancherait la gorge avec sa sœur et toute sa progéniture du diable. Alors, du calme et laissez-moi faire. C’est moi qui parlerai.

Le général soupira longuement, nullement convaincu. Réfléchissant en homme de guerre, il savait très bien quand frappant vite et fort il aurait pris la place facilement. Même qu’il serait déjà sur le trône. Mais maintenant, s’il fermait les portes et qu’on les gardait en otage, cette forteresse serait imprenable, ou très difficilement, même par ses alliers et les armées du pape réunies et leurs gigantesques machines de guerre. Il ne put s’empêcher de rajouter tout bas :

-Elle nous insulte cette salope en nous traitant de la sorte.
-Elle paiera pour ça. Murmura le vieux prêtre les yeux vicieux. Toutes ces richesses accumulées depuis des décennies par ces bordels seront à nous et avec ma part, je pariai ce qu’il faudra pour être élu pape. Le pèlerin nous a bien servi sans le savoir en décapitant le Saint-Père. Et bon débarras.
-Léon est le successeur désigner pourtant, de loin le préférer du concile, ils vont voter pour lui, tout le monde le dit.
-Léon n’est qu’un idiot que je vais faire assassiner ce soir a Nantes ou il doit accourir a présent, sinon, demain quand on va tous se réunir.
-Quoi ? Fit le général surpris. En plein concile !
-Oui, du poison qui ne laisse aucune trace verser dans son vin par l’une de mes espionnes, son cœur va lâcher comme si c’était trop pour lui l’idée de diriger Rome et l’église. Ensuite, menace et argent vont me faire élire avec ton aide, tu en seras grandement récompensé comme je te l’ai promis. Ce royaume sera à toi et sans effort et deviendras enfin Chrétien et comme je te l’ai dit, les armées du pape t’aideront par la suite dans tes conquêtes. Tu vas devenir roi, général. A nous deux, on régnera sur le pays et toute l’Italie. Ensuite on annexera les pays païens du nord. Surtout ses maudits vikings que l’on exterminera jusqu’au dernier.
-Je suis a vos ordres, futur pape, comme tous mes amis. Fit le général servile, mais toujours nerveux.

Le prêtre de 71 ans sourit méchamment montrant ses dents jaunies, car il savait qu’il allait devenir l’homme le plus puissant d’occident et tout ça, grâce a une pute royale amoureuse d’un hérétique assassins. «Trop drôle la vie parfois.» Ce dit-il en retenant un fou rire.

Finalement, on les invita a la salle du trône et en y entrant fièrement, quoi que de mauvaises humeurs, le général et l’homme de Dieu eurent un vison qui les firent se figer d’étonnements un bon moment. Quelque chose qu’ils n’avaient jamais vue ou put imaginer voir de leur vie ; une reine païenne dans toute sa splendeur et sa jumelle.

La reine Marquerite était assise dignement sur un immense trône de pierre finement décorer de symbole runique, les fesses royales poser sur un coussin de soie verte, et, chose incroyable, voir inconcevable pour un chrétien, elle était nue, ou presque, tout comme ça jumelle debout à côté du trône. Elles ne portaient toutes les deux que des cache-sexe en argent retenu par une chaîne a leurs tailles, de nombreux bracelets aux poignets et aux chevilles et de magnifiques colliers d’argent et d’opale, dont l’extrémité, se perdait entre leurs gros seins aux pointes recouvertes de cache mamelons, aussi en argent et graver de motif.

Tête haute, jambe écarter comme un homme, bras sur les accoudoirs, la reine les fixait sans la moindre trace de crainte sur son beau visage qui avait été peint en blanc, ses lèvres en rouge, ses yeux cercler de noir et ses épais cheveux bruns natter a la viking, tout comme sa sœur. A leurs pieds, s’étalait une dizaine de femmes nues, ne portant que quelques bijoux elle aussi, plus désirable les unes que les autres et qui se frottait ensemble et se caressait mollement en souriant comme si elles se moquaient d’eux, tout en mangeant des pâtisseries. Une hérésie pure et simple pour les deux chrétiens.

Le général ne put s’empêcher de déglutir, car ce spectacle l’excitait terriblement. Mais, malheureusement, il y avait une ombre au tableau, une vingtaine de femmes viking qui se tenait en rang serrer derrière la reine et sa putain de soeur. « Des mercenaires sans doute » se dit-il encore plus nerveux. Il se surprit même à prier pour qu’il n’y ait que celles-là, parce que si non, s’il y avait toute une armée viking en plus des soldats de la reine et si le plan de l’archevêque ne fonctionnait pas, il comprit que leurs vies ne vaudraient pas bien cher. Il se maudit d’avoir agi aussi rapidement en suant de plus en plus tout en bandant de plus en plus. Toutes ses femmes, surtout celle qui se caressait sans vergogne au pied du trône en s’empiffrant, le troublait, mais apparemment pas le prêtre qui semblait être dans une rage folle. Comme il lui avait promis de le laisser parler, il en profita pour se rincer l’oeil.

Les viking étaient superbe, grandes et sveltes, et a voir leurs cheveux blond ou roux et natté, leur visage farouche, mais racer portant des peintures de guerre et des tatouages runiques et leur tenu de combat constituer seulement de culotte de cuir et d’une simple cotte de mailles pour le torse qui laissait entrevoir leurs poitrines hautes et fermes, il comprit qu’elle n’était pas la juste pour impressionner. Des femmes bandante certes, mais qu’il savait être extrêmement dangereuse, toutes armé d’une grande épée à double tranchant, de haches de guerre et de poignards et portant des boucliers ronds. Des combattantes redoutables, il le savait que trop bien depuis l’attaque de Paris.

De LaSalle ne put s’empêcher de sentir son sexe durcir encore plus en regardant a nouveau la reine tellement il la désirait, si bandante avec ses formes opulentes et sa peau laiteuse, ça jumelle aussi. Il les trouvait vraiment d’une grande beauté, bien plus que les dames de la cour a Paris habillé a la dernière mode, c’est a dire jusqu’au cou. Il ne put s’empêcher de s’imaginer les baisant avec v******e par le cul et le con après les avoir torturés. La bosse sous son collant rayer était bien visible a présent, mais il ne pouvait le cacher et s’en foutait royalement. Il était bien membré et en était fier. Mais le sourire qu’arborait la reine le troublait. Pourquoi elle souriait comme ça cette pute ? De plus, elle n’avait aucun conseillé. Quelle reine n’en a pas. C’est foutue bonne femme n’y entende rien a la guerre.

-Bien le bonjour reine païenne, cracha l’évêque avec dégoût en se forçant a se calmer, mais sans la saluer, tenant toujours son sceptre dont la croix en argent massif reluisait divinement sous les rayons de soleil entrant par de grandes fenêtres.

« Un signe de Dieu, pensa t-il. »

-Salut prêtre ! Dit-elle simplement avant de rajouter ; reine païenne hein !
-Ou reine putains, dit-il tout sourire croyant l’offusquer.
-Ça me va bien tous ces petits noms, tu ne trouves pas Jeanne ? Demanda Margo a sa soeur en lui caressant une fesse.
-Oui, ma soeur et lâche mon cul vicieuse, tu as de la sainte visite.

Margo le fit en riant aux éclats s’emparant d’un petit gâteau sur un plateau d’argent que lui tendait une jeune servante, nue également. La reine en prit une bouché et se lécha les lèvres.

-Tu l’es plus encore que ce que j’imaginais. Hurla le prêtre indigner sentant une grosse veine battre a sa tempe. Tu es une abomination au regard de Dieu, une hérésie toi, ta soeur i****tueuse et tes putains. Viens embrasser ma bague par respect pour la sainte Église et Dieu. Fit-il dédaigneux en tendant la main. Il portait au doigt une grosse bague ornée d’un rubis étincelant.
-Ton dieu peut aller se faire voir, vieux corbeau. Dit-elle en finissant son gâteau pour ensuite se gratté les poils du pubis tout sourire, puis le sexe sous le médaillons d’argent qui le cachait à peine.

Le général cru bien que ça bite allait faire exploser son collant.

L’archevêque lui, en resta sans voix à cause de sa réponse et de la voir oser se branler devant lui, sentant même son sang bouillir. Comment pouvait t-elle ainsi défier la toute-puissance de l’église et Dieu. Elle devrait trembler de peur pourtant. Il ouvrit la bouche, mais elle dit :

– L’homme qui a décapité ton idiot de pape n’est pas chez moi. On le dit parti pour l’orient.
-Mensonges diablesse, ton ancien amant est dans les environs, on le sait. On va le trouver et tu vas payer pour ton insolence envers un représentant de l’église et pour avoir abrité un meurtrier, un hérétique tueur de prêtres. Maintenant que le pape ne peut plus te protéger, tu vas laisser ton trône au général De LaSalle et sans combattre. Tu sais très bien que si tu ne le fais pas, tous les gens de ton royaume vont en payer le prix, toi la première putain. Tu n’as pratiquement aucune défense et quand ses soldats prendront la place, ils vont piller, violer et tuer comme ils le voudront. Je sais que même si tu est une putain, tu es une putain intelligente, alors, si tu t’avoues vaincue, là, maintenant, tu seras libre d’aller ou tu le souhaites. Je vais garantir ta sécurité ainsi que celle de ta famille pourvu que tu ailles le plus loin possible et qu’on entende jamais plus parler de toi ni de ta soeur. Alors, femme ?

Fier de sa tirade et certain de sa victoire, il la fixa, attendant qu’elle abdique en salivant déjà a l’idée de visiter l’endroit ou elle accumulait ses trésors. Car il avait bien l’intention de s’assurer qu’elle ne partirait jamais avec. Même qu’elle ne partirait jamais. Mais ses yeux baissèrent vers son sexe qu’elle se caressait toujours. Il en sua un bon coup, déstabiliser par ce comportement hérétique. Elle prit même le temps d’ordonner à sa servante de lui faire manger une autre pâtisserie. On aurait put entendre voler une mouche dans l’immense salle.

-Tient, général De LaSalle, te v’là bander. Dis Margo sans plus s’occuper du prêtre qui en rougit de fureur en ouvrant la bouche de surprise. Veux-tu que je m’occupe personnellement de ta petite queue de rats ?

Les filles gloussèrent, même les mercenaires.

-Vas te faire foutre femme. Rugit le soldat furieux.
-J’en ai bien l’intention, mais ce ne seras pas par toi et tu n’auras pas l’occasion de me torturer non plus ni de m’enculer moi ou ma sœur.

Un lourd silence s’installa dans la salle tandis que le général et la prête se regardaient, soudainement inquiet comprenant qu’ont les avaient écouté.

-Et oui, ont vous entendu faire des plans dans la petite salle en attendant d’être amener ici. Ce vieux château est rempli de passages secrets bien utiles. On y entend même les murmures les plus discrets. Ce n’est pas la prudence qui vous étouffe tous les deux.

Le général débanda rapidement en apprenant qu’ils avaient été espionner, de plus en plus mal a l’aise en fixant la reine toujours impassible qui les regardait comme s’il n’était rien tous les deux et toujours en se branlant en plus cette salope. Et ça… ça ne lui plaisait pas, mais pas du tout qu’elle ait tout entendue de leurs plans. Il se dit encore une fois qu’il n’aurait jamais du écouter ce maudit prête.

-Fait bien attention reine Margo, rugit l’archevêque, se forçant a rester calme et digne, si jamais tu oses t’en prendre a nous ou nous résister…

A ce moment, le capitaine de la reine qui c’était approcher du général sans que celui-ci ne l’aperçoive avait déjà sorti son épée et lui trancha nets la tête juste au-dessus de l’encolure de son plastron. Celle-ci roula au pied du trône tandis qu’un flot de sang arrosait la reine, sa sœur et les filles affoler qui s’enfuirent au fond de la salle. Margo, elle, resta impassible en regardant le corps De LaSalle s’affaler sur le sol, se vidant de son sang à gros bouillons. Le prêtre, horrifier et blanc comme un drap tomba à genoux comprenant subitement que ça ne vie ne tenait plus qu’a un fil, que ces beaux plans venaient de s’écrouler sans qu’il comprenne pourquoi, en suppliant qu’on lui épargne la vie. Il n’y comprenait rien, comme pouvait t-elle le défier et surtout le concile, Rome. Elle n’avait pratiquement pas d’armée pour se défendre, lui avait assuré, ses espions. Elle devait être folle à lier, pourtant, on lui avait juré le contraire. Au même moment, une de ces guerrières blondes entra par les grandes portes en s’approchant à grands pas du trône, faisant sursauter joliment sa poitrine haute et ferme et rougit de sang.

-Ils sont tout prisonnier reine Margo, jusqu’au dernier. Il y a eu combat et une dizaine de morts dans leur rang. Nous, on a trois blessés, rien de sérieux. Ont les as désarmé et tous fait mettre cul nu dans un champ en attendant vos ordres. Mes filles s’amusent bien avec eux, mais que de petites tortures. Tien, dit-elle en baissant les yeux, de beaux yeux vert, on dirait que leur général a perdu la tête.

Margo rit en imaginant le tableau, la prête lui en frémit de stupeur maudissant ses espions.

-Beau travail ! Qu’on les laisse rentrer chez eux comme ça, la queue entre les jambes ainsi que les deux espions chrétiens qui ont trop parlé au bordel. Garder les armes, mais brûler leurs vêtements.

Elle acquiesça tout sourire et sortit.

-Alors prêtre, dit-elle calmement, tu es venu ici ce matin avec ton amie sous prétexte de trouver un meurtrier en te disant que cela te servirait d’excuse pour t’emparer de mon royaume, que ce serait une prise facile et que tu gagnerais le général a ta cause et qu’avec mes richesses tu te ferais élire pape. Grave erreur comme tu peux le constater. Et n’attends pas d’être vengé, car le futur pape est justement ici.
-Quoi ? hurla presque l’homme de Dieu. Impossible ! Léon est en retraite fermer très loin de ton royaume païen.

Un homme dans la quarantaine, grand et fier, ne portant pas la robe, vêtue comme un simple voyageur, sortit de derrière une d****rie suivie de trois hommes plus âgés.

L’archevêque faillit s’évanouir. Son vieux cœur eut des ratés.

-Alors mon ami, dit l’homme en se plantant devant lui, intéressante cette conversation que tu as eue avec ce général que l’on a écouté nous aussi, mais guère prudent de votre part. Je venais assister au festival incognito comme toujours quand j’ai appris la mort du pape. Et je suis d’accord avec toi, ce n’est pas une grande perte pour la chrétienté. J’allais m’en retourner à Nantes au plus vite quand on m’a appris ton arrivée avec ton général et son armée. Je suis donc venu voir mon amie la reine Margo pour l’aider si je le pouvait sachant très bien que tu rêvais depuis longtemps de te débarrasser d’elle et de ses bordels pour t’accaparer toutes ses richesses. Mais je ne savais pas que tu voulais aussi me faire tuer,en tout cas, pas aussi vite et, visiblement, c’est elle qui vient de m’aider. Même de me sauver la vie. Merci bien reine Margo.
-Bof, fit-elle, on fait d’une pierre deux coups Léon, il y a longtemps que j’espérais qu’il crève celui-là. Mon pire ennemi a Rome et il vient se livrer docilement à moi ce matin avec ce con de LaSalle.
– Si je suis élu pape vous ne serez pas inquiétez comme d’habitude et ton ex-amant ne seras plus poursuivit. On le saura dans les trente jours. Mais, avec la généreuse donation que tu viens de me faire, les choses en seront facilitées grandement Margo.
-Et qu’est-ce qu’on fait de lui Léon ?
-Bof, qu’il disparaisse à tout jamais, personne ne va le regretté, ou essayer de le venger, de LaSalle non plus d’ailleurs. Je vais juste garder sa bague et son sceptre.
-Emmenez le, ordonna t-elle aux guerrières, et faite de lui ce que vous voudrez, pourvu qu’il en meure.

Le prêtre hurlant et suppliant fut sorti par les jolies vikings que ces suppliques amusaient et Léon regarda Margo sceptre en main en fourrant la bague dans sa poche en disant :

-Je ne t’ai jamais vue aussi désirable, même couvert de sang et ta sœur également. Malheureusement on doit partir. Ah ! J’oubliais, la fête d’hier avec ses monstres était ma foi… inoubliable.
-Tu étais la ? Je ne t’ai pas vue.
-Je sais, mais j’ai eu le plaisir de pouvoir t’enculer Margo.
-J’avais le cheveu tresser hier ?
-Oui, fit-il intriguer en fronçant les sourcils.
-Alors tu as enculé ma sœur, tu te reprendras quand tu voudras futur pape.
-Cul de Jeanne ou cul de Margo, les deux sont aussi splendides.
-Tu vas faire un très vilain pape Léon. Tu ne crains pas l’enfer des Chrétien.
-Des contes pour enfants Marguerite, la reine putain. A bientôt les jumelles.
-Bonne chance Léon et que ton dieu fasse que tu sois élu. Lui dit Jeanne qui visiblement le trouvait très beau.

Quand ils furent sortis, Margo lâcha un long soupir de soulagement en se massant les reins.

-Quelle chance incroyable, Margo, dit son capitaine, qu’il ce soit trouvé ici. L’on aurait eu toutes les peines du monde à expliquer le mort de ses deux gredins et la prise de leurs armées.
-Ça, tu peux le dire. Assure-toi que toutes ses jolies guerrières soient bien payées comme d’habitude, mais avec un bonus et qu’elle s’amuse autant qu’elle le souhaite au carnaval et débarrasse-moi de ce cadavre, que les corbeaux s’en nourrissent. Moi je vais prendre un bon bain. Tu m’aides la jumelle païenne. Dis Margo en tendant la main à sa sœur. Mais celle-ci se pencha et vomit sur les marches du trône avant de dire :

-Je n’ai plus le goût de jouer a la reine ma sœur.
-Hum ! Moi ça m’a bien amusé ce matin. Ouf… maudit dos. Aide-moi Jeanne. Donc, pas d’empoisonnement de prévus pour moi ma petite soeur.
-Pas cette année ma grande soeur.
-C’est Marie qui vas être soulagée de ne pas devenir goûteuse de la reine.
-Elle te goutte déjà suffisamment, non.

Leurs rires résonnèrent sous les hautes arches de la salle du trône tandis qu’on ramassait un corps décapité, et sa tête.

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