Chap. XVI “Exhib SM au Parc”

Babes

Chap. XVI “Exhib SM au Parc”
=== Chap XVI ===

La distance était un véritable handicap, 400 km c’est une galère sans nom.. mais pas un tue l’amour. Au contraire.. cette distance nous rapprochait dans les sens ou nous parlions peut être plus que si nous avions été toujours ensemble. J’avais plus ou moins digéré les penchants de Viviane et j’avais également accepté les miens. Tout naturellement j’avais expliqué la situation à Patricia qui heureuse d’avoir de mes nouvelles se fit une joie de bavarder avec moi non sans me dire que Maryvonne aimerai bien me voir également.

Patricia n’était pas surprise que j’ai accepté de passer de l’autre côté du fouet oserais-je dire. Elle disait qu’il était évident que j’avais en moi ce qu’il fallait de perversité pour aimer dominer, que jusque là je n’avais jamais voulu simplement par peur du regard des autres. Je lui expliquais que je trouvais que j’avais été vraiment très dur, Patricia tenta de me rassurer en m’expliquant que de toute façon elle avait été aussi loin qu’elle le voulait. Elle me dit que moi même j’étais capable de subir bien plus que ce que nous avions fait ensemble.. J’étais conscient de çà.. et je lui avouait même que j’avais envie d’être soumis après cette expérience.. peut être une façon de me faire payer ma fureur avec Viviane.. Naturellement Patricia m’invita à venir la voir.. mais je n’avais pas envie de tromper Viviane.. Patricia me dit simplement… tu sais c’est ton esclave.. elle ne peut pas t’interdire quoi que ce soit.. parles lui en. Cette dernière parole me trotta dans la tête un bon moment.

Par chance mon job m’obligeait à des horaires étranges me laissant des journées libres. Quand nous avions la chance que ces plages coïncide avec les horaires tout aussi bizarres de Viviane je sautais dans la voiture pour la rejoindre. Nos relations étaient, compte tenu des désirs de Viviane, étranges.. mais n’allez pas croire que chaque fois que nous faisions l’amour nous avions besoins des accessoires.. et que cela prenait à chaque fois des proportions énormes.. Non .. mais il faut bien admettre que rapidement le jeu entre elle et moi était systématiquement pervers. Au bout de quelques temps il était devenu habituel que pour un oui pou un non Viviane soit giflée, humiliée voir d’autres amusements..

Il devint de plus en plus fréquent également d’associer d’autres personnes à nos ébats.. et souvent des inconnus.. Et Viviane voulut également renouer avec plusieurs personnes qu’elle avait fréquenté avec son ancien maître. Et là c’était un réseau très particulier, très fermé, très secret..

En attendant l’arrivée des vacances d’été, que nous allions passer ensemble, je sautais sur toutes les occasions pour rejoindre ma belle.. A cette époque, nous avions encore des moments où le jeu domination soumission était encore peu présent. Nous étions un jeune couple aimant la vie et qui aimait se retrouver. Certes nos débordements étaient fréquents mais nous étions aussi comme tous les autres couples parfois.

Chaque fois que je retrouvais Viviane je retombais amoureux, qu’elle était belle. Je ne me laissais pas de la regarder. Belle et sensuelle, sa sensualité était omniprésente, dans ses postures, sa façon de marcher, ses regards. Je n’étais pas le seul à en être frappé.. je voyais les regards envieux des autres hommes ou femmes également. Ajoutons également une part non négligeable de provocation. Viviane aimait les tenues sexy, transparentes tout ce qui pouvait à la fois la mettre en valeur et livrer le plus possible d’elle même aux regards des autres.

Viviane était particulièrement exhibitionniste, mais également prête à se livrer au premier venu sous mon contrôle. C’était assez étrange, jamais elle n’aurait porté de tenues provocantes quand j’étais absent.. Mais quand je l’accompagnais elle mettaient des choses qu’une pute n’aurait pas osé porter.. Elle était prête a faire n’importe quoi avec n’importe qui du moment que j’étais là et que je l’autorisais ou lui demandais de le faire.. cela sans limitation de nombre.. on le verra plus tard.

J’étais arrivé le soir après le travail pour deux jours et demi avec mon amour. Viviane était aux anges. Nous allions avoir 1 mois à passer ensemble durant les congés d’étés. Mais en attendant elle et moi en avions un peu assez de nos ébats téléphoniques.. même si nous nous épuisions parfois.. en fantasmes divers.

Quand j’arrivais, elle me tomba dans les bras j’avais droit à un accueil dont rêvent beaucoup d’hommes.. Elle portait en tout et pour tout une veste de pyjama en satin bordeaux, rien dessous que sa peau frémissante. Elle m’enlaça et nos bouches se joignirent pour un baiser qui aurait pu faire penser que nous cherchions à battre un record. Ce n’était que le souffle court que nous condescendions à stopper notre étreinte. Et nos corps se cherchaient, en général après se baiser ma queue était raide et le restait tant que Viviane n’en faisait pas baisser la pression..

« Tu à été sage… petite salope? » C’était devenu un jeu.. je posais la question…

« Pas trop… non… » répondait elle…

« Tu sais ce que tu mérite? » dis-je

« Oui… je sais … » disait elle

« Je sais qui? » rétorquais-je en la regardant dans les yeux…

« Maître » disait elle en baissant les yeux..

Et elle s’agenouillait devant moi… implorante.. et après une caresse sur la joue, je lui assénais une gifle ou deux.. Son visage était l’extase même.. elle renversait la tête, la bouche entrouverte, comme pour goûter mieux la douleur qui lui donnait le rouge aux joues.. sa langue mouillait ses lèvres.. Cet instant était magique.. c’était comme le starter d’une voiture.. une fois ce rituel accompli.. tout devenait possible..

Je savais que j’aimais de plus en plus ces jeux.. Cette sensation de pouvoir est rapidement grisante, quand il suffit de demander pour qu’une chose soit exécutée. Mais il ne faut pas non plus croire que c’est moi qui décidais quelle folie nous allions réaliser,c’était tout le temps Viviane qui me glissait, tiens j’aimerais bien ceci ou cela. On programmait nos escapades, après on improvisait..parfois c’était à l’humeur du moment.

Ce soir là on avait envie de se promener et Viviane connaissait un parc qui était le lieu de rendez vous des couples et aussi des voyeurs.. Il faisait doux, pas une nuage un beau clair de lune. Elle avait une folle envie de se montrer, en fait que j’aille la montrer l’exhiber. Elle passa une petite robe blanche en maille.. en fait il aurait fallu qu’elle porte autre chose en dessous mais elle n’enfila que la robe, des bas et ses hauts talons Elle ne cachait presque rien de son avantageuse anatomie.. Pire le bout de ses seins perçaient au travers des mailles la rendant encore plus bandante. Elle fit une simple queue de cheval. Autour de son cou elle mit un large collier de cuir clouté qu’elle me fit serrer. Le simple fait de passer mes doigts sous le cuir et j’étranglais Viviane, elle adorait cette sensation.. surtout quand approchait l’orgasme la strangulation les rendaient plus violents. Elle passa le mousqueton dans l’anneau du collier et me tendit la laisse.

« Je suis prête …maître » dit-elle a voix basse.

Je tirais sur la laisse, Viviane approcha de moi.. Ses grands yeux pales me regardait je voyais danser cette lueur si particulière qui naissait dans ses prunelles quand elle était excitée. Je passais ma main sur sa nuque, descendant sur la courbure de son dos puis ses reins. Elle se cambra, ma main glissais sur ses fesses.. Sa robe ultra courte me facilitait la tâche et je glissais ma main en dessous.. Le peau douce de ses fesses, je glissais entre les deux globes, laissant ma main s’acheminer entre ses cuisses. Les lèvres, petites crêtes de chair.. je les sentais moites.. j’insinuais mes doigts dans sa fente… mouillée.. j’allais plus avant enfonçant mes doigts dans son con.. il était déjà trempé.. Je ressortais mes doigts de cette fournaise.. et lui montrait.. mes doigts étaient mouillés luisants d’un suc gras..

« Tu à vu çà? Je dois penser quoi? Tu est une salope!! une truie!! tu pense qu’a çà chienne!! »

Elle baissait la tête, je lui remontais le menton d’une bourrade.. Puis je passais mes doigts sur ses lèvres essuyant le jus de sa chatte sur les lèvres rouges de sa bouche..
Je troussais sa robe, dévoilant ses fesses et avec la laisse je lui donnais quelques coups bien fort .. des marques rouges naquirent que la peau blanche.. tandis qu’elle se raidissait sous les coups.
Ma queue était tendue.. j’avais envie de la prendre.. mais le jeu n’était même pas commencé en fait.

La nuit était douce, il faisait beau.. Je stationnais la voiture prés de l’entrée du parc. Viviane descendis et j’accrochais la laisse à son collier. Nous entrions dans ce superbe parc aux allées soignées, les plus larges goudronnées, mais les petites étaient simplement des chemins de gravier. Le son des talons de Viviane sur le sol était dans le silence un véritable signal pour tous ceux qui se trouvaient aux alentours.

Sa démarche était d’une sensualité à tomber par terre. Un déhanché qui aurai fait bander une colonie d’eunuques abstinents.. Je ne me laissais pas de la regarder, avec cette superbe salope en laisse je me sentais le maître du monde. C’est incroyable comme des simples artifices peuvent changer la perception des choses. Viviane me regardait intensément chaque fois que mes yeux se portaient sur elle. Elle jouait avec moi.. elle frissonnait, la situation était excitante. Elle regardait autour d’elle scrutant chaque ombre.. épiant chaque buisson ou potentiellement pouvait se dissimuler un voyeur.. voir pire..

Nous avancions dans le parc, je demandais à Viviane de trousser sa robe, elle l’a remonta jusqu’à la taille. La voir marcher ce déhancher dans la lumière des réverbères était excitant. En laisse elle marchait lentement, secouant ses cheveux, tournant la tête me regardant attendant un désire, un ordre. Pour ma part je bandais comme un fou dans mon jean au point d’avoir du mal à marcher. Je m’arrêtais prés d’un lampadaire, m’y adossais.. tirant sur la laisse je lui ordonnais

«  A genoux suce moi salope!! »

Elle s’agenouilla, passant sa main sur la bosse évidente pourtant je suis loin d’être monté comme un âne. Viviane fit glisser la fermeture du jean et ma queue jaillit. Elle me prit dans sa bouche, les yeux levés vers moi. Ma queue était dans un étau de velours brûlant, Viviane était de ces femmes dont la bouche aimait recevoir les queues, elle était de celle qui se laissait remplir jusqu’au délire la bouche et la gorge. Elle suçait comme une reine. Et surtout ne quittait jamais des yeux le visage de celui qu’elle suçait. Avec moi rapidement Viviane savait à quel moment précis j’allais jouir elle n’était jamais prise au dépourvu. Et elle buvait tout le sperme que l’on pouvait lui donner.

Je n’avais pas l’intention de jouir de suite.. J’espérais bien que d’autres quelque voyeur.. aurait l’audace d’approcher. Nous semblions seuls et adossé à mon poteau je laissais ma chienne me pomper à loisir. Je scrutais les ombres, les massifs, les buissons pour discerner quelque candidat à la pipe. Je finis par repérer un mouvement derrière un arbuste. Quelqu’un se déplaçait de couvert en couvert pour approcher de nous. Sous notre lampadaire nous étions dans le cercle de lumière on y voyait comme en plein jour.

Viviane avait sa robe troussée à la taille et dévoilait son cul à tous ceux qui pouvaient nous mater. Notre voyeur pensait que nous ne l’avions pas repéré. Il arrivait au plus près de notre position et en effet si je n’avais pas vu le mouvement il aurait pu rester là ou il était sans même que je le voie. Mais je le savais là à peut être deux mètres, il était sur notre droite. Je décalais doucement Viviane de façon a ce qu’il ne perde pas une miette du spectacle. Elle me pompait si ardemment que mon jean était trempé de salive autour de ma braguette.

Je l’invectivais
«  Suce moi mieux que çà salope!! A fond.. Avales moi »

Elle émettait des bruits incongrus, je tirais sur sa laisse.. Lui assénais quelques coups sur les fesses.. le claquement était incroyablement audible. Sans rien dire je fis comprendre à Viviane que nous avions un voyeur… Elle continua à me pomper.. puis au bout d’un petit moment leva les yeux vers moi et me dit assez fort

«  Maître j’ai envie d’une autre queue, de plein de queues a sucer..vous voulez bien? »

« Oui si tu trouve d’autres queue tu peux les sucer à fond espèce de pute! » je criais presque.

Viviane cessa de me sucer et se tournant vers l’arbuste qui dérobait notre gars à nos yeux.. elle fit signe avec son doigt d’approcher en disant

« Viens viens je vais te sucer aussi c’est gratuit.. »

Lentement dans un bruit de feuilles froissées un jeune gars arriva 19 ans pas plus.. la queue à la main.. et une bite de belle taille.. Il me jetais des regards furtifs mais n’avait d’yeux que pour Viviane qui lui faisait le plus beau des sourires.. en tendant la main vers son engin.. On avait une chance inouïe.. un jeune gars plutôt mignon.. il devait passer par hasard.. ce n’était pas le type du voyeur habituel.. Il se laissait amadouer.. Viviane avait posé la main sur son sexe tendu.. je regardais cette belle queue presque avec gourmandise..

« Sans déconner vous êtes d’accord dit il en me regardant.. »

« Mais oui laisse toi faire.. tu va voir cette chienne est une bonne suceuse.. » repondis-je..

Il se détendit.. enfin pas de tous les bouts.. Viviane commençais à engloutir sa bitte.. facilement 20cm et très épaisse. Viviane peinait à l’engloutir.. alors d’une main je l’obligeais à tout avaler de cette jeune queue.

« Oh la vache oh la vache » répétais le gars..

Viviane commença à le pomper.. pour l’encourager je frappais ses fesses avec la laisse, elle réagissais vivement car je frappais assez fort.
Au premier sursaut je cru que le jeune allait protester.. je le regardais.. et lui dit

« C’est mon esclave elle adore que je la cognes »

« Oui maître fouette moi fort!! » dit elle en sortant la queue de sa bouche.

Et je la frappais, dos et fesses elle gémissait et se tordait sous les coups.. Le jeune appréciait la pipe et regardait tomber les coups sur celle qui le pompait.
Par moment je poussais sur la tête de Viviane pour qu’elle avale la queue plus profond.. Parfois je lui tirais les cheveux et remplaçait le gars pour me faire sucer à mon tour.

Notre trio était affairé quand je vis un mouvement sur ma gauche, un homme d’age mur était à quelques pas de notre petit groupe, la queue à l’air entrain de se branler. Je lui fit signe d’approcher, il était plutôt rond, sa queue était courte, un gros gland et il bandait à peine. Doucement pas à pas il approchait en s’astiquant. Dans la lumière du lampadaire je vis qu’il avait au moins 60 ans.. le papy était écarlate …

« Viens elle va te sucer le nœud.. papy » lui dis -je

Cette fois il était assez proche, je tirais violemment les cheveux de Viviane qui poussa un cri.. Et plaçant son visage devant la queue de l’homme je lui dit

« Allez espèce de pute suce le.. fais le gonfler.. »

Elle pris la queue à peine dure entre ses lèvres et se mit à le pomper, tandis qu’elle astiquait le jeune d’une main. Puis elle se mit à passer de l’un à l’autre. Je ponctuais ses efforts par des coups avec la laisse, sur ses fesses mais aussi sur son dos. Je tirais ses cheveux ou bloquait son visage contre le ventre d’un des mecs. Viviane suffoquais parfois, ses yeux pleuraient quand elle enfilait la queue du gamin au fond de sa gorge, elle était sur le point de vomir quand elle relâchait l’engin. Même papy bandait maintenant sérieusement son gland avait gonflé encore.

J’étais excité par la situation, Viviane se livrait totalement elle était dans un état d’excitation tel que le voyais les lèvres grasses de mouille luire dans la pénombre de son entre cuisse.

Après un coup sur le cul qui lui laissa une longue marque boursouflée, je la faisait relever son cul.

« Lève ton cul salope, écarte il va te défoncer le cul » ordonnais-je à mon esclave

elle suçait toujours le vieux monsieur et j’invitais le jeune à la baiser.

« Viens, vas y encule la à fond, fais la gueuler.. n’ai pas peur elle aime »

Il ne se fit pas prier et il enfonça sa queue de plus de la moitiés en un seul coup de rein.. Viviane poussa un cri. Je pris son collier et le tordais.. elle se mit a suffoquer.. Je savais que le jeune allait sentir l’anus s’affoler pendant la strangulation.

« Oh putain!!! elle est bonne ta meuf!! »

« Vas y bourre là fais lui péter le cul, fais la hurler!! »

Viviane pompait le vieux et se faisait défoncer la rondelle par le gamin. Moi je bandais comme un fou, frottant ma queue sur sa hanche dénudée. Je sentis que Viviane avait un hoquet, le papy venait de la gratifier d’une belle décharge, elle en avait plein la bouche.. Et le brave homme avait l’air sur le point de faire un arrêt cardiaque.. Il n’avait pas dit un mot, juste quelques grognements de satisfaction, il referma son pantalon et partit d’un pas peu assuré sans même dire merci..

A cet instant je me rendis compte que nous avions des voyeurs prés de nous, en fait de voyeurs c’était un couple d’age mur, madame était plutôt bien en chair, pour ne pas dire plus. Mais elle avait un air coquin comme je les aime, en fait elle avait tout de la bonne salope, elle se frottait visiblement ma croupe contre la queue de son mari, et sa main glissée entre ses cuisses fourrageait dans un minou a priori très velu que je distinguait assez nettement sous sa robe relevée. Un des ses seins avait jaillit de son décolleté et une main le pétrissait avidement.

Je tenais toujours le collier de Viviane qui la bouche pleine la gorge serrée était agitée de spasmes, elle était au bord de l’orgasme, le gamin lui pilonnais le cul avec force. Je relâchais le collier et lui redressant la tête lui ordonnais

« Avale salope, tu l’a pompé avale son jus tu aime çà. »

Les yeux gris me scrutaient ils était plein de reconnaissance, elle était aux anges, elle adorait être traitée de cette manière. Je la giflais vraiment violemment son regard se fit encore plus frondeur, elle en voulais encore. Seconde gifle sa tête dodeline, elle passe sa langue sur ses lèvres, c’est d’une sensualité qui me met en émoi..

« Ouhh elle aime çà » dit une voix féminine derrière moi.

Le couple c’est approché, la femme est plutôt jolie, la quarantaine une belle bouche rouge et large qui demande une queue a sucer.. des cheveux mi longs châtain clair.

« Je sais moi aussi » Minaude la femme.
C’est une invitation ou je suis idiot.
De derrière elle s’élève une voix…

«  Elle est jalouse..elle aimerais bien une baffe.. » dit l’homme.

Je lève la main.. et assène une gifle sur la joue de la salope. Elle réagis avec force, elle se met a trembler de tous ses membres tout en susurrant

« Encore… ».

Je la gifle une nouvelle fois, sa main entre ses cuisses s’agite fébrilement. Elle est toute proche de l’orgasme.

« Ça suffit, ne jouis pas espèce de truie!! » lui intime son homme.

La femme obéit a regret, elle est parcourue de frissons. Dans la lumière maintenant je vois sa touffe luisante et brillante de perles humides, ses cuisses même son striées de rigoles argentées. La chienne mouille comme une fontaine.

Un coup d’œil au gamin me fit comprendre qu’il allait jouir.

« Viens là, et baise la bouche de cette autre salope! » ordonnais-je au gamin.

A regret il se retira du cul de Viviane, et s’approcha de la femme qui s’agenouillait.

« Vas y et fort elle adore çà!! » dit son mec

Je vis que le type avait la queue à l’air. D’un coup sec je tirais sur le collier de Viviane et lui désignais la queue. Pas besoin de lui faire un dessin presque à 4 pattes elle s’approcha et se mit à pomper la queue qui m’avait parue d’un super format. Je bandais comme un dingue moi aussi mais je me repaissais de la scène. Je n’avais jamais encore poussé le bouchon aussi loin dans un lieu public. Cela m’excitais énormément.

Le gamin défonçais littéralement la bouche de la femme a grand coups de reins, il avait envie de jouir. La femme suffoquais, était parfois sur le point de vomir sans aucun doute, mais son mec lui tenait la tête la plaquant parfois contre le bas ventre du jeune qui poussait des grognements sourds. Il se mit soudains a vraiment gueuler alors qu’il balançait la purée au fond de la gorge de la femme. Impressionnant, elle avait le nez sur le ventre du garçon, la queue enfoncée au fond de la gorge et le gamin se vidait les couilles avec force. Elle déglutissait, essayais de tout accepter mais c’était impossible, le sperme refluais coulais à la commissure de ses lèvres, il finit même par repasser par le nez. Elle s’étouffait littéralement.

Elle était agitée de soubresauts, frissons, spasmes parfois violents. Sa main entre ses cuisses branlais sa chatte avec frénésie. Soudain un bruit d’eau puissant se fit entendre, comme si on avait ouvert un robinet. Entre les cuisses de la femme un mare se formait. La salope jouissais et se vidait la vessie à longs jets brûlants. La v******e de son orgasme la terrassait, elle fini par se laisser tomber au sol sur le dos, cuisses écartées soulevant son bassin et se branlant furieusement, elle giclait de tous côtés nous aspergeant même. Le foutre qu’elle avait dans la bouche lui maculait maintenant les joues, le cou. La scène était surréaliste dans la nuit voir cette femme jouir aussi violemment, le jeune la queue encore dressée semblait anéanti lui aussi, ses jambes flageolaient sous lui.

Moi j’avais la queue tendue, tellement dure que j’en avais mal dans le bas ventre, j’avais l’impression que mes couilles pesaient des tonnes. Il fallait que je jouisse à mon tour. Viviane pompait l’homme avec ardeur.

Je m’agenouillais prés de la femme et lui plantais ma queue dans la bouche, elle avala mon sexe avec avidité, sa main toujours agitée entre ses cuisses, elle était dans une mare maintenant. Trempée jusqu’à la taille, les cuisses luisantes d’urine et de son plaisir qui était mousseux, laiteux. Son visage brillait de longues coulées de sperme, sa bouche était brûlante, sa langue active cajolait mon gland, ses doigts s’étaient emparés de mes couilles. J’avais mal elle me pressait les burnes avec application et force. Elle malaxait le paquet avec doigté. De mon côté je donnais de violent coups de reins pour lui baiser la bouche, ce qu’elle semblait fort apprécier. Chaque fois que mon gland butait au fond de sa gorge, je grimpais d’un cran vers la libération. Mes mains retenait sa tête, la pressait contre mon ventre, je regrettais à cet instant de ne pas avoir un sexe bien plus long.

Viviane de son côté était bien servie, elle aussi arrive facilement à avaler une queue mais avec ce type elle a du mal à engloutir les deux tiers. Et je vois ses lèvres distendues par le diamètre du sexe qu’elle pompe.
Le jeune est en train de se remettre de ces émotions quand il nous hèle.

« Hé faites gaffe une voiture de flic !! »

En effet là bas à l’entrée du parc une voiture de la police se gare. Nul doute qu’ils vont faire un tour dans le parc. Je les maudit!! Et pas que moi… le gamin c’est renfrogné.

« Merci c’était super!!! vous venez souvent?? » demande t-il

« De temps en temps à l’occasion » répondis-je tout en me rajustant..

Dur dur!! pour être dur je le suis..
La femme s’est relevée, son homme comme moi remet sa queue au placard.. Il nous fait signe de les suivre. Ce que nous faisons, je détache la laisse de Viviane le collier ça passe mais la chaîne.. Et nous nous glissons dans un sentier plein d’ombres du parc. Le couple qui nous précède semble bien connaître les lieux. Et ils nous guident vers l’autre extrémité du parc. Tout en chemin nous nous sommes rendus plus regardables. La femme a quelques soucis, car après les ondées dont elle nous avait gratifiés c’est un peu plus difficile d’être impeccable. Sa robe légère est trempée. Mais leur voiture est stationnée à quelques pas de la sortie du parc. Nous nous engouffrons dans la grande berline le cœur un peu battant. Mais de bonne humeur et en riant.

Et nous faisons un peu connaissance. Amusant de se présenter seulement après avoir baisé, habituellement on pratique à l’inverse, mais il m’est fréquemment arrivé d’apprendre le prénom de ma partenaire seulement après avoir fait l’amour avec elle, et pour certaines je n’ai jamais connu leur prénom.

Nous étions donc en compagnie de Amélie et Richard, couple marié et très coquin lui est proche de la cinquantaine, elle viens juste de fêter ses 40 ans. Plutôt ronde, bien en chair, un visage rond et toujours souriant, elle se définit elle même comme une pute soumise. Elle adore être humiliée utilisée, c’est un grand plaisir pour elle de se trouver dans des lieux insolites, de faire l’amour à des inconnus ou d’être utilisée sans ménagement. Elle dit elle même je ne sais pas si je suis vraiment maso, mais si on me frappes et que je tremble il faut continuer. Son mari est un pervers, il adore les femmes qui osent, les filles qui agissent comme des putes, celles qui sont prête a tout pour jouir et faire jouir. Ils nous invitent à finir la soirée chez eux.. mais avant lui et moi on aimerait au moins qu’elles nous fassent jouir.. on est tous les deux chauds et durs elles ont pris du plaisir mais nous on est resté sur notre faim. Richard démarre et nous gare sur un parking sombre. Amélie s’installe avec moi à l’arrière tandis que Viviane rejoint Richard à l’avant..

« Allez les filles, vous nous pompez à mort » dit Richard.

Pas besoin de les inciter elles avaient déjà ouvert nos pantalons et c’étaient jetées sur nos queues. Amélie est vraiment une surdouée de la pipe, j’y prend autant de plaisir qu’avec Viviane qui est elle aussi une experte ce que Richard constate de son côté. Richard possède une queue de taille impressionnante, 23 cm pas moins et une épaisseur aussi conséquente. Mais et comme disait Amélie qui le taquinait avec çà, grosse oui mais bien moins raide que moi. Effectivement les érections de Richard était moins extrêmes. Moi je bandais à en avoir mal, quand je dis mal, je parle vraiment de douleurs qui ne disparaissaient qu’une fois que j’étais vidé. Là dans la voiture j’avais une hâte c’était de faire baisser cette tension.

Amélie s’y employait mais avant de faire baisser cette tension, elle en provoquais une plus intense encore. Sa bouche douce comme de la soie et brûlante me dévorait la tige, sa langue la parcourait en tout sens. Elle tenta vainement de recalotter le gland sans succès.
Elle me regardait avec ses jolis yeux noisette et me dit
« Ça te fait mal? J’ai jamais vu une queue aussi tendue !! Richard regardes »

Notre brave Richard avait autre chose en tête et les yeux mi clos subissait avec délice une excellente fellation. Tout comme celle que me prodiguais Amélie.
Elle me suçais avec ardeur et faisait tout ce qu’il faut pour me faire partir. Richard bourrais la bouche de Viviane avec force, il lui tenait la tête et donnais de grand coups de boutoir dans cette bouche, vu la taille de sa queue ma Viviane devait avoir son gland au fond de la gorge. Amélie me regardais pompait, puis me sortait de sa bouche pour lécher ma tige et mon gland. Ma raideur semblait l’obnubiler. Son autre main me malaxait les couilles, parfois même elle prenait le paquet dans sa main et le tirait vers le bas. J’adore çà. Et le lui faisait savoir. Au bruit venant de l’avant Richard était en train de remplir la bouche de Viviane. Je suivi de près lâchant tout mon foutre dans celle d’Amélie qui appréciait les giclées que je lui donnais.

Pour Richard et moi c’était salutaire.. Après la séance dans le parc nous avions une telle envie de partir.

« Ça y ‘est ils sont contents » dit Amélie en riant.

« J’espère que j’ai bien travaillé » dit Viviane d’une voix servile.

Elle jouait le jeu de l’esclave tant que je n’avais pas dit que c’était fini.

« Oh mais tu m’a pompé comme rarement je l’ai été !! Même Amélie n’est pas aussi douée!! » dit Richard

Viviane baissa les yeux, mais me regardais en coin.

Amélie regardait ma queue toujours tendue.. Elle semblait avoir envie de s’en emparer mais d’un autre côté elle semblait également avoir peur d’y toucher.. peut être croyait elle à cet instant qu’elle tomberait en poussière si elle la frôlait!

« Richard ! Regarde! Il bande toujours aussi dur pourtant il m’en a balancé des tonnes!! » dit Amélie en secouant la bras de Richard.

« Ah oui en effet!! comment tu fais? Moi un fois que c’est parti çà retombe vite » dit il avec une petite grimace.

J’expliquai comme à chaque fois que c’était ma nature que j’avais du mal a revenir au repos.

« Bah comme çà tu peux te reconvertir dans le porno!! » dit il en riant

« Bah je pense pas… vu la taille c’est pas le bon casting.. mais toi oui!! » répondis-je

« Mais on s’en moque!! On a nos petites chéries et on se fait nos pornos et c’est bien mieux!! » ajouta Richard

« Oh les hommes on va continuer à la maison on sera mieux » dit Amélie.

On repassa près de l’emplacement de notre voiture et nous lui emboîtèrent le pas.

Viviane était à côté de moi, toujours excitante dans cette robe en maille transparente. Elle avait des traces de sperme séché partout sur le visage. Elle me regardait avec une sorte d’angoisse dans le regard.

Elle me dit « J’ai bien fait maître? »

Je décidais de continuer à jouer le jeu.

« Tu aurais pu faire mieux » dis je d’une voix forte en la giflant.

Elle accusa le coup, j’avais frappé fort mes doigts avait marqué sa joue. Elle me lança un regard de défi mêlé à ce plaisir trouble qu’elle ressentais quand je l’humiliais et la giflais. Bouche entrouverte elle haletait, tout en rivant son regard sur moi. Une seconde gifle lui cingla l’autre joue. Elle rejeta la tête en arrière en poussant un petit râle. Elle jouissait en fait. Je ne vis qu’a ce moment, sa main droite qui triturait son téton et l’autre enfouie entre ses cuisses.

« Salope!!! tu te branles sans que je l’ai ordonné!! »hurlais-je

Elle se remit droite dans le siège.

« Ah tu aimes çà!! Eh bien petite truie tu va te branler jusqu’à ce qu’on arrive chez nos amis et si tu ne pars pas au moins 4 fois tu sera punie devant eux au ceinturon.. tu sais comment ça fait mal » dis je sur un ton calme.

« Oui maître » répondit Viviane

Ce faisant elle se cala dans le siège, posa ses pieds sur le tableau de bord et écartant les cuisses se mit à se branler.

J’étais sur qu’elle ne jouirait même pas une seule fois, déjà nos nouveaux amis habitaient en ville et Viviane n’allait pas manquer de se faire corriger en présence d’inconnus.

Nous arrivons chez nos nouveaux complices. Petite maison cossue, grand garage double pour y ranger deux grosses berlines. A priori nos amis ne sont pas dans le besoin. Amélie nous fait entrer et s’éclipse pour se changer, car elle est un peu négligée dit elle. Effectivement après l’orgasme humide dont elle nous a gratifié sa petite robe est trempée dans le bas et le dos plein de poussière. Elle propose à Viviane de l’accompagner pour se laver la frimousse également.. Mais j’interviens et je lui dit que mon esclave est bien comme çà, à moins que cela ne les gêne eux mais moi je préfère la voir souillée et ravalée au rang d’objet de plaisir.
Amélie sourit et me dit

«  C’est dur, mais c’est excitant tu sais »

« Amélie est soumise mais je crois que là elle est battue à plate coutures!! » dit Richard

Puis s’adressant à Viviane que j’ai mis à genoux au milieu de la pièce.

« Tu à vraiment l’air d’aimer çà!!! »

Viviane me regarde quémandant l’autorisation de répondre.

«Répond petite pute » lui intimais-je.

« Oui j’aime çà, je suis une esclave et je fais tout ce que maître demande » répondit elle.

« C’est dingue de tomber sur un couple comme vous!!! On aime bien aussi jouer à çà mais on est très loin de vous. C’est très excitant. Mais c’est toujours comme çà entre vous? »

J’explique à Richard que ce jeu n’est que sexuel, que Viviane sera libérée de son statut d’esclave après la punition que je lui ai promise et dont ils vont être spectateurs. Amélie revient à cet instant. Elle découvre Viviane agenouillée sur le sol du salon, les mains croisées derrière sa nuque.

« Mais qu’est ce que c’est? » dit elle

Amélie est plus que légèrement vêtue, en fait elle à juste mis un bustier noir qui soutient ses seins énormes, une paire de bas noirs mais hormis cela elle est nue. Je dois dire que même si elle ne correspond pas aux canons de la beauté Amélie est une belle plante. Elle déborde littéralement de son bustier 130 de tour de poitrine en bonnets E cela fait une sacré paire de seins. Ses hanches sont larges, ses cuisses replètes. Sa toison est impressionnante de même que ses aisselles naturelles. Je suis assez sensible aux poils et j’avoue qu’une femme poilue est plutôt a mon goût, mais j’aime aussi les femmes sans poils question de physique de couleurs de cheveux etc.. Amélie cela lui va bien.

J’explique à Amélie que je vais donner une correction à Viviane qui le mérite. Je préviens que ce sera fort, très fort même. Ils ne doivent pas intervenir et laisser la chose suivre son cours. Je m’enquiers quand même de leur acceptation. Richards et Amélie n’hésitent pas une seconde avant de dire oui.

Ils s’installent côte à côte dans le canapé, j’ai poussé la table basse et Viviane est au centre agenouillée, les mains sur la nuque, les yeux baissés vers le sol. Sa respiration est un peu rapide, elle sait ce qui va se passer, elle attends la punition avec impatience. Elle est face au couple qui peut ainsi profiter de ses mimiques.

« Enlève ta robe chienne! » ordonnais je

Viviane fait prestement passer sa robe par dessus sa tête et se trouve maintenant nue. Elle me regarde du coin de l’œil tandis que je retire le ceinturon de mon jean. Elle le connaît, elle sait qu’il est large, épais et qu’il fait très mal.

Par habitude Viviane étire les coudes, sortant sa poitrine, cambre ses reins pour offrir sa croupe. Richard et Amélie sont plongé dans une contemplation doublée d’un silence religieux. On entends que les frôlement du cuir et la respiration de plus en plus rapide de Viviane.
J’enroule une partie du ceinturon autour de ma main. J’assure la prise.

Je laisse le bout du ceinturon se promener sur l’échine de Viviane, elle ne voit pas je suis derrière elle presque. Le cuir dessine des arcs entre la naissance de ses fesses et sa nuque. J’ai ramené ses cheveux sur sa poitrine. Viviane frémis sous la caresse, le frémissement se mue petit a petit en un tremblement qu’elle, et je le sais parfaitement, est incapable de contrôler. Amélie à posé sa main sur la cuisse de Richard qui lui l’a enlacée et nonchalamment caresse le sein sous sa main. Nos amis paraissent subjugués par le spectacle qui débute.

J’attise le désir de Viviane et la frôlant avec l’instrument qui va la meurtrir. Elle attend la bouche entrouverte, la respiration saccadée son regard croise le mien et j’y lis son envie de se donner à moi l’envie de nous offrir sa souffrance comme un cadeau. Je la comprend car quand je suis à sa place c’est ce qui me motive également. J’aime avoir mal, mais c’est encore plus excitant, motivant quand on sait que l’on est vu en train de souffrir. C’est aussi du cabotinage, le fait de vouloir montrer comment on résiste, jusqu’où on peut aller, en mettre plein la vue c’est aussi çà. Viviane ne déroge pas à la règle, les séances les plus poussées eurent presque toujours lieu en public.

A cet instant je suis sur que déjà elle est très excitée et certainement très humide. Il suffit de jeter in œil à sa chatte pour voir ses petites lèvres grasses de mouille et luisantes. Je suis toujours habillé. Amélie me le fait remarquer et me dit que ce serais plus sympa pour elle si j’étais à poil. Ainsi disait elle, mon anatomie serais sous surveillance. C’est de bonne grâce que je m’exécutais et je fus bien vite nu à mon tour comme tout le monde. Naturellement je bandais déjà bien fort. Ce qui n’échappa absolument pas à Amélie. Viviane avait les yeux mi-clos, elle frémissait d’impatience, de peur, de désir.

« Ouvre les yeux, regarde devant toi petite salope!! » lui ordonnais-je.

Viviane obéis aussitôt. Et elle ouvrait grand les yeux, je voulais que nos amis puissent contempler son regard quand le cuir allait lui mordre la peau. Elle était magnifiquement offerte, elle bombait le torse offrant ses seins, les reins creusés elle m’offrait sa croupe. Mains derrière la nuque, bien campée sur ses genoux elle se donnait totalement. Viviane avait une particularité, elle était capable de subir le pire sans être entravée ce qui n’est pas le cas de toutes et tous.

Je promenais le bout du ceinturon dans le creux de ses reins, puis j’armais mon bras et frappais son fessier avec force. Le claquement sec sur la peau fit un bruit énorme dans le silence de la pièce. Son cri bref signifiait que la douleur était là. Je vis du coin de l’œil Amélie se tendre quand Viviane pris se premier coup. Encore une fois j’agaçais la peau de Viviane, j’armais mon bras et je la frappais sur le dos, le claquement fut très sonore et Viviane accusa le coup se cambrant encore plus tirant ses coudes en arrière. Elle poussa un cri plus long et bouche ouverte tentait de reprendre le souffle qu’elle avait expulsé en même temps que son cri. Elle peine à reprendre son souffle. J’ai vraiment frappé fort, une marque rougeoyante est en train de naître sur ses fesses et sur son dos les bords de ces marques vont virer au petit bourrelet comme si le l’avais frappé à la baguette.

Amélie est comme subjuguée, sa main entre des cuisses est agité d’un petit mouvement, notre plantureuse amie se caresse, son autre main est occupée à serrer le sexe de Richard qui semble de plus en plus en forme.

« Tu en veux encore espèce de chienne?? »

lançais-je à Viviane puis

« Regarde tu les excite beaucoup »

Viviane poussa un long soupir et dit

« Oui encore maître, bats moi encore »

Je ne lui laissais pas le temps de réfléchir et rapidement j’abattais par deux fois le ceinturon avec force sur son cul offert. Elle poussa un cri puissant et se mit a trembler de tous ses membres.

Elle murmura « Merci maître c’est bon encore!! »

Dans la foulée deux coups sur son dos. Elle eut un hoquet et un sanglot. Sa respiration était chaotique elle avait du mal à reprendre son souffle. Des larmes ruisselaient sur ses joues et gouttaient sur sa poitrine.
Moi je bandais comme un fou et naturellement mon gland commençait à être mouillé. Ce détail n’échappa aucunement à Amélie qui me fit signe d’approcher. Ce que je fis. Elle regardait ma queue avec envie. Elle n’osait pas me toucher.

« J’adore ta queue!! tu mouilles tu est vraiment excité!! Ça te plaît de la battre comme çà? » dit-elle

« Oui.. j’aime et tu vois elle aussi.. regarde comment elle ondule du bassin. Elle aimerais une caresse sur la chatte là tu vois elle est toute trempée » répondis-je

Une idée me traversa l’esprit. Je pris la main d’Amélie et l’entraînait vers le centre du salon. Je la fis mettre a genoux en face de Viviane.

« Tu va me battre aussi? » Demanda Amélie un peu inquiète
« Non….. Sauf si tu le demandais vraiment. Tu va tenir les mains de Viviane ou lui donner une caresse si tu en a envie. Déjà vérifie combien elle aime et combien elle mouille» dis je

Amélie glissa une main entre les cuisses de Viviane qui frémit et gémit sous ce contact. Amélie en ressortit une main totalement trempée de mouille grasse, en fait elle vit que Viviane avait même commencé à laisser tomber quelques gouttes sur le sol.

« C’est fou !! Elle est trempée elle goutte!! » dit Amélie.

« Tu vois .. elle aime çà.. allez prends lui les mains et tu peux l’embrasser » dis je

Les deux belles mêlèrent leur doigts, Amélie posa ses lèvres sur celle de Viviane, ses gros seins frottaient les pointes de Viviane. Amélie me regardait du coin de l’œil je levais le bras et frappais avec force les reins de Viviane. Le coup porta et le bout de mon ceinturon entoura sa taille et vint frapper le ventre de Viviane. Bouche soudées à celle d’Amélie elle lui offrit son cri, leurs mains se serraient, les phalanges blanchies toutes les deux. Amélie supportait Viviane qui tremblait et semblait prête a s’effondrer. Elle lui prit la tête entre les mains, Viviane avait le visage marqué par la douleur, les larmes coulaient à flot de ses yeux. Sa bouche entrouverte tremblait, tentait de reprendre son souffle.

Amélie lui dit doucement « Il faut arrêter ma chérie, ça suffit.. »

Viviane la regarda dans les yeux « Non, trop bon j’en veux encore »

J’avais entendu l’échange. Je m’approchais d’Amélie et lui dit à l’oreille que si elle voulait faire plaisir à Viviane elle n’avait qu’a la gifler. Je profitais d’être près de notre nouvelle amie pour passer ma main entre ses cuisses et j’y trouvais une chatte inondée et béante.

La regardant dans les yeux je lui dit « Dis moi ma belle tu à l’air d’apprécier?? »

« Oui mais j’ai un peu honte regarde dans quel état est ta femme » ajouta t-elle

« Oh ce n’est rien.. tu va voir. » dis-je.

Je fis signe à Richard de venir. Je lui demandait de trouver une ceinture ou un ceinturon comme le mien. Il trouva rapidement ce qu’il fallait. Et je l’invitais à se placer à droite de Viviane moi je me plaçais a gauche.

« Vas y cogne là!! Elle n’attends que çà. » dis je

Il hocha la tête et plaça un coup sur les fesses de Viviane, un coup bien mièvre.

« Plus fort!!! Cogne vraiment !! marque là! »

Il donna un coup sur le dos cette fois Viviane creusa les reins et poussa un hurlement. Agrippée à Amélie elle sanglotais. Je doublais le coup par un autre encore plus fort. Un cri déchirant, Viviane redressa le buste en poussant un cri saccadé, elle était agité de tremblements de tous ses membres. Je fis signe a Richard de continuer il plaqua lui aussi un coup très fort. A nouveau Viviane se mit à hurler et a trembler avant de retomber dans le giron d’Amélie. J’étais maintenant excité à mort, ma queue me faisait mal et un long fil pendait au bout de mon gland. Richard aussi bandait bien dur, il se caressait un peu. Moi je ne devais pas sinon j’allais gicler.

Le dos de Viviane était rouge, un entrelacs de marques qui devenait de plus en plus foncé, aux endroit ou les coups se croisaient les boursouflures de la peau avait parfois éclaté et laissaient perler un peu de sang. Viviane sanglotais dans les bras d’Amélie. Elle était secouée de spasmes et de tremblements, à voir la petite mare humide entre ses genoux elle avait eu au moins un orgasme. Ce que confirma Amélie quand je le lui demandais.

« Oui je crois qu’elle a jouis. Mais il faut arrêter maintenant!! » dit elle

« Non continuez » dit Viviane dans un souffle.

« Alors donnez moi en la moitié » dit Amélie

Richard la regarda surpris mais également enchanté.

« Ok »dis je « Mais Viviane est endurcie ma chérie, pas toi. Alors on va le faire mais moins fort »

Je laissais Richard travailler Viviane tandis que j’allais m’occuper d’Amélie. J’étais plus sûr de retenir mes coups que lui, Viviane supporterait mais Amélie sans doute pas.

Elles étaient face à face agenouillée, leurs bouches échangeaient des baisers. Richard commença a frapper, Viviane se tordait sous les coups s’agrippant à Amélie. Puis je commençais à frapper à mon tour. Amélie réagissais vivement, elle aussi accusait fortement les coups et se mettait à trembler de tous ses membres dans l’attente d’un autre coup. Je frappais fort mais sans excès. Son dos ses fesses rougissaient allègrement mais elle ne garderait pas les marques de Viviane.

Cette dernière avait la peau écarlate, des traces sombres grenats formaient un croisillon meurtri sur sa peau. Richard avait la queue tendue a son tour et je remarquais que lui aussi commençais à avoir le gland mouillé. Pour ma part j’avais l’impression que je n’arrêtais plus de laisser échapper de longs fils de moins en moins translucides, j’avais sur les cuisses de long fils poisseux. Je faisais attention à ne pas me frotter le gland sinon j’allais exploser. Mes couilles me faisaient mal, malgré le fait qu’elles étaient presque remontées à la base de ma verge j’avais l’impression qu’elles pesaient des tonnes.

Amélie appréciait les coups je le sentais bien, mais il en fallait pas plus pour elle c’était également évident. Amélie se caressait la chatte et ses doigts étaient trempés. Elle passait également sa main entre les cuisses de Viviane qui était elles totalement liquéfiée, sa mouille laiteuse coulait le long des ses lèvres pendantes goûtant sur le sol, un trop plein s’écoulait en rigoles brillantes le long de ses cuisses. Son clitoris totalement décalotté et gonflé était dressé au haut de son sexe. Il était temps de passer à plus… Je posais ma main sur l’épaule de Viviane et la tirais vers l’arrière. Elle comprit, me jetant un regard suppliant. Ce regard me disait à la fois sa peur, son envie l’acceptation de ce qui allait arriver. Elle appuya ses mains au sol, basculant le buste en arrière. Je rejetais ses cheveux dans son dos.

Amélie me jeta un regard incrédule.. avant de dire d’une voix rauque d’excitation.

« Non.. tu va pas lui faire çà!!! »

« Oh si ma chérie elle va en prendre pareil sur les seins maintenant!! » dis je

« Alors moi aussi!! frappes moi » dit Amélie des larmes pleins les yeux

« Non tu ne supporterais pas chérie »dis je

Richard laissa tomber sa ceinture et me dit « Sans moi..je peux pas! »

« Je ne t’aurais pas laissé faire de toute façon »répondis je

Maintenant Viviane offrait totalement son buste à mes coups. Cette fois elle avait le regard un peu fou qu’invariablement je lui connaissait quand nous allions un peu plus loin que de coutume. Elle haletait, tendue dans l’attente du premier coup. Amélie avait tenu à rester agenouillée dans le dos de Viviane et elle lui tenait les épaules. Sa joue contre la joue de Viviane elle lui murmurais des choses à l’oreille. En fait j’appris plus tard qu’elle encourageait Viviane, et non tentait de la dissuader.

Richard s’approcha de moi et me dit doucement

« Tu m’en veux pas.. mais là c’est trop pour moi.. mais tu sais ça m’excite a fond. »

Je le rassurais en lui disant que je comprenais son attitude et que çà prouvais justement qu’il serait capable d’aller aussi loin que moi un jour car il connaissait ses limites. Moi avec Viviane j’avais découvert que les miennes pouvaient être repoussées sans trop d’effort.

Mais je devais maintenant agir sinon la tension de Viviane allait retomber et là elle aurait très très mal. Je promenais le cuir sur son ventre puis je remontais entre ses deux seins, puis je taquinais alternativement les deux tétons qui était dressés. Viviane me regardait intensément et me sourit, avec un petit hochement de tête. Elle était prête et n’attendait plus que moi.

Je levais le ceinturon et l’abattais au dessous de sa poitrine, elle poussa un grand cri son corps se creuse avant qu’elle ne reprenne la pose. La marque rosissait avant de passer au rouge et de devenir un sillon au bords boursouflés. Je frappais à nouveau, plus bas sur le ventre, hurlement de douleur, tremblements sa bouche entrouverte cherche une respiration qui à été coupée par le coup. Amélie la soutient. Elle aussi a les yeux dans le vague comme si elle était au bord de l’orgasme. Richard est à côté de moi il se paluche doucement, excité par le spectacle son gland gonflé est comme le mien trempé et dégoulinant.

« Merci maître encore »dit Viviane dans un souffle.

Mon bras se lève, Viviane tremble de tous ses membres.. elle sait que cette fois ce sont ses seins qui vont prendre… elle le croit.. En fait je frappe son pubis offert. Elle ne s’y attendait pas et pousse un hurlement de douleur, serre les cuisses et ploie en avant, la tête contre le sol les deux mains serrées contre son bas ventre. Sanglotant, hoquetant, elle renifle son visage est baigné de larmes quand Amélie la tire en arrière pour la remettre en position.

Maintenant Viviane est secouée de tremblements violents et de spasmes, en fait elle est à un stade ou elle connaît un orgasme presque permanent en fait c’est des orgasmes en rafale ils se suivent très rapprochés ils sont déclenchés par le moindre frôlement, les coups, les mots que je lui dit, ce que lui dit Amélie aussi. Comme son dos et ses fesses son ventre son bas ventre deviennent rouges.

Ses seins sont tendus, durcis par le désir. J’arme le coup et abats violemment mon ceinturon sur les seins de Viviane, le coup porte sur les deux tétons , il est pile centré. C’est comme si elle avait reçu une décharge de 1000v. Elle hurle comme jamais, sa tête dodeline de droite a gauche, ses mains crispées dans le vide tente de ne pas se poser sur sa poitrine. Amélie semble dépassée, sans elle Viviane serait au sol, là elle la maintient. Secoué de spasmes Viviane prend son pied encore une fois et me hurle de continuer. Second coup tout aussi précis Viviane hurle de plus belle s’agite, sa tête alterne gauche droite comme pour dire non mais je sais bien qu’elle va encore demander.

Maintenant la main de Viviane est entre ses cuisses. Je frappes à nouveau mais cette fois les tétons sont épargnés. Elle a les seins rougis ses tétons sont en train gonfler. Richard est au bord de l’apoplexie je lui dit d’aller jouir sur Viviane. A peine c’est il approché d’elle que de longues giclées de foutre vont s’écraser sur les seins et le visage de Viviane. Richard se laisse ensuite aller au sol prés des deux femmes. Mon non plus je ne résisterais pas longtemps, de long fils suintent de ma queue et glissent vers le sol. Je sent les gouttes de foutre monter lentement le long de ma tige avant de glisser en un long filament de plus en plus laiteux vers le dallage.

Encore une fois je met un coup violent et précis sur les tétons de Viviane cette fois elle se laisse tomber au sol Amélie ne peut la retenir. Viviane se tords comme un ver sur le dallage presque tout son corps est rouge vif strié marqué par les coups. Elle hurle, pleure, crie mais également elle continue de se branler.

Amélie est stupéfaite. Elle aussi se branle en regardant Viviane au sol.
J’approche d’elle et lui bloque les bras avec mes pieds. Viviane est en croix sur le sol. Elle me regarde, elle sait. Sans que j’ai besoin de le dire elle écarte ses cuisses largement. Son entrecuisses est luisant trempé, son clitoris est gonflé et saillant au haut de sa chatte. Avec ses mains Viviane écartèle les lèvres de son sexe.

Je lève le bras, ma main est haute..
J’entends Amélie proférer un « NON » quand ma main s’abat le cuir heurte le sexe offert, le clito est littéralement écrasé par le coup. Viviane saute comme une bête blessée elle hurle, elle bave ses yeux son fous, sa chatte commence à crachoter de petits jets elle va se vider ..

Elle empoigne mes chevilles et hurle a mon intention « Encore!!Encore!! »

Je sais que ce sera le dernier, mais j’y mets toute mon ardeur je frappe pile son sexe encore une fois.. Ses mains me broient les chevilles elle se tend comme un arc… dans un orgasme ultime et qu’elle inonde le dallage à longs jets.. Elle jouis longuement.. de longs spasmes entrecoupés de tétanies , les yeux de Viviane sont révulsés elle à la bave au lèvres.

Amélie s’approche de moi, elle est agenouillée. Elle est devant ma queue tendue à l’extrême. Elle pose la pointe de sa langue sous mon gland.. j’explose littéralement sur son visage.. Elle tiens mes hanches et frotte son visage sur ma queue. Je suis sur le point de m’écrouler.. mes jambes me portent à peine.. Je suis déconnecté un instant mon sexe me fait mal, le frottement de la douce peau d’Amélie est une torture tant mes nerfs sont à vif. A nouveau un bruit de robinet.. Amélie viens de jouir et se lâche totalement. Son urine éclabousse mes pieds, et Viviane qui est lovée au sol prés de nous gisant dans une mare humide.

C’est assez dantesque.. Je finis par mettre un genoux au sol. Puis je m’approche de Viviane.. je ne sais par quel bout la prendre tant elle est meurtrie. Elle fini par se lover dans mes bras. Amélie elle aussi nous rejoins et nous restons un bon moment au sol enlacés Viviane, Amélie et moi.
Viviane à passé un bras autour du coup de Amélie et lui donne un baiser plus que coquin.
Puis elle prend ma bouche avant de dire « Super!! C’était génial »

On finit par se remettre dans un état plus normal. Amélie ne quitte pas les bras de Viviane. Entre les deux femmes ils y a un lien fort qui c’est créé. Amélie cajole Viviane, la caresse doucement. Le plus doucement possible car elle est vraiment marquée.. Ses seins meurtris on pris une drôle de forme, les coups ont fait naître des bosses qui les déforme. Les tétons on pour le moins doublé de volume et semblent sur le point d ‘éclater, en fait gorgés de sang ils ne sont pas si loin de la rupture. Un autre coup aurait été fatal.

Pendant quinze minutes environ on ne s’adresse pas la parole, on redescend sur terre. Puis Amélie prend la parole

« C’est totalement dingue!! J’aurais jamais cru qu’on pouvais supporter çà ma chérie!! en plus tu y prend ton pied!! Tu sais je t’envie j’aurais aimé être à ta place mais je n’oserais sans doute jamais. »

Viviane la regarde longuement et dit

« Oui j’aime çà et toi aussi ils n’ont pas entendu ce que tu me disait à l’oreille.. Et là je peut dire tu aimes autant que moi il faut juste oser mais tu as bien jouis aussi ma chérie, autant que moi au moins »

Amélie ne nia pas et pour montrer que c’était vrai elle écarta les cuisses et ouvrit son con, il était inondé plein de petit lait crémeux qui s écoulais vers son anus palpitant. Viviane ne voulant pas être de reste ouvrit son sexe également, mais ses lèvres étaient gonflées, tuméfiées et son clito énorme déjà habituellement avait pris une taille hors norme et une teinte violacée. Viviane tentait d’y poser le doigt mais elle grimaçait de douleur.

« Tu est dans un état ma chérie!! Tu as mal? » s’inquiéta Amélie.

« Oui j’ai mal, très mal mais c’est bon tu peux pas imaginer, je suis contente que vous ayez profité de çà.. Je suis contente de vous avoir rencontré. J’ai soif.. on bois un verre et je fais l’amour à Richard il doit en avoir envie… » dit Viviane.

« Mais tu plaisante!!! tu à vu ton état? » répliqua Amélie

« Oui elle sait, elle va avoir très mal en faisant l’amour mais ça la fait jouir.. Il faut s’y faire.. c’est comme çà.. Et je pense que Richard à envie de Viviane… Comme moi j’ai envie de toi… » dis je

« Ah oui.. Moi aussi j’ai très envie de sentir ta queue toute dure en moi… » dit Amélie en venant se frotter à moi.

Après quelques verres, Richard entreprenait Viviane qui se laissait aller avec bonheur à un assaut très viril. Elle souffrait de chaque caresse, chaque attouchement était une torture. Elle subissait un supplice quand il la pénétra car le sexe de ma Viviane était tellement gonflé, tuméfié qu’elle supportait à peine un souffle. Alors une pénétration virile c’était une torture, mais Viviane adorait. Et Richard en était à la fois ravi et honteux. Ravi car il prenait un plaisir intense a besogner vigoureusement ma petite esclave. Honteux de le faire autant de mal. Pourtant Viviane pris son pied à plusieurs reprises.

Amélie et moi c’était différent. Je profitais de son émoi pour lui apprendre des choses qui font mal et à les apprécier. Je lui mordais cruellement le bout des seins alors qu’elle se laissait pénétrer par ma queue. Les sensations étaient fortes et elle prenait un pied terrible. Amélie adorait être giflée et je ne m’en privais pas..
Nous avions fini la soirée par une superbe duo lesbien entre Amélie et Viviane qui s’en sont donné à cœur joie tandis que Richard et moi nous astiquions la queue pour finir par partir sur nos deux belles coquines.

Nous avions trouvé une couple complice que nous aimions retrouver à l’occasion. Amélie avait été attirée par les performances de Viviane et avait envie de franchir le pas, Richard était moins sur qu’elle de vouloir pousser le jeu aussi loin. J’aurais l’occasion de reparler de ces amis plus loin.

Quand nous sommes rentrés à la maison au petit matin avec Viviane, elle se fit chatte plus que jamais et me dit que la soirée avait été géante. Moi j’avais encore à cet époque toujours peur d’aller bien trop loin. Ce n’était pas la vision de Viviane qui appréciait cette descente aux enfers. Et inutile de dire qu’après une telle séance elle restait chaude comme de la braise au moins une semaine.

En fait tout le temps ou les marques étaient encore visibles. Souvent je la surprenais nue devant la glace à se mirer, a suivre du bout du doigt les marques imprimées dans sa peau. Parfois même elle se faisait jouir en se remémorant la séance. Viviane est une des rare femmes que j’ai connue capable de se masturber toute la journée, voir aller jusqu’à l’épuisement le plus total. Je dois dire que je ne suis pas loin non plus de cette posture. J’avoue avoir à mon actif plusieurs séances épuisantes et douloureuses.

Mais à cette époque si je sentais Viviane prête a toutes les folies, je n’imaginais pas encore que nous étions qu’a l’aube d’une folle relation. Que tout ce que nous avions commis n’était que jeux innocents et sans conséquences.

Notre mois de congé fut rempli d’aventures coquines, chaque fois on allait un peu plus loin dans une thématique, plus de partenaires, des lieux insolites, plus de douleur voir des folies.

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