Barbecue avec des connaissances. Episode 2

Double Penetration

Barbecue avec des connaissances. Episode 2
Barbecue avec des connaissances. Episode 2

Georges avait les mains appuyées sur une de mes étagères, la braguette ouverte, la queue pendante sur la langue de Marie qui descendait du gland aux couilles velues du rouquin. Il avait les yeux fermés et un large sourire, lui qui faisait toujours la gueule avait l’air satisfait. Maintenant Marie avalait sa bite en fond de gorge, puis jouait avec le gland et avalait de nouveau la bite. J’était un peut jaloux, sa bite est le double de la mienne en longueur. Moi la mienne est souvent raide, mais petite malgré des étirements, Mais c’est ma bite et je l’aime quand même, Marie dit toujours : dans ma chatte c’est un peut petit, mais dans mon trou du cul, c’est gros… alors ça compense. Et puis une trop grosse bite, cela n’est pas toujours facile à sucer. Je sais de quoi je parle, j’en ai déjà sucé. Ben oui j’aime bien aussi, c’est mon droit.
Marinette c’était approchée et regardait la scène stupéfaite, ben elle l’aurait jamais cru… Georges la faire cocu, lui qui disait qu’il avait du mal à bander maintenant à 68 ans, avait une belle trique. Je dis à Marinette en baissant mon short, tu n’as pas envie de faire pareil ?
Oh que si, mais j’en reviens pas… Mic, ça m’excite de le voir ce faire sucer par ta femme. Alors regarde le bien, je vais te caresser la chatte dis je en soulevant sa jupe. Je découvre un gros cul tout ridé, mais encore ferme. Je baise sa culotte pendant qu’elle s’appuie contre le pommier qui nous cachait de la cabane et je passe ma main entre ses grosses cuisses. Elle ne perd pas une miette de son homme embouché par ma femme qui vient de lui baisser son pantalon et relevé sa chemisette découvrant son gros ventre de retraité. Mes doigts fouilles la chatte de Marinette, une chatte baveuse, qui s’ouvre e plus en plus, si cela continue, ma main va rentrer… Je me dit : c’est plus que je ne pensais, je vais essayer de la fister en me mettant sous elle. Sa chatte est ouverte avec de très grosses lèvres qui pendent. Je les écartent en tirant dessus comme deux escalopes, un trou apparaît. L’ensemble est gonflé par le désir. Trois doigts, puis les cinq doigts commencent à entrer en tournant, elle mouille terriblement vu son age, enfin moi j’en suis étonné. Je pousse, recule ma main sur laquelle elle pousse voulant s’empaler. La garce à déjà dut le faire car ca rentre bien. Ma main est à l’intérieur et déchaîne une giclée de plaisir. Marinette n’est pas une femme fontaine, mais ça coule quand même pas mal. En entrant dans elle, un petit râle lui échappa, ce qui fit ouvrir les yeux de Georges et qui nous aperçu. Il lâcha les étagères et pris la tête de Marie qu’il bloqua sur sa bite. Il lui déchargeait son sperme dans la bouche en disant : Tiens tu n’es qu’une salope, avale. Marie grogna, se retira, en essuyant la commissure de ses lèvres, elle me regarda, ouvrit la bouche en disant : c’est fait chéri, je l’ai calmé le rouquin. Ils se sont mis à rire tout les deux. Marinette finissait de jouir, les yeux révulsés. Je retirais ma main pleine de cyprine. Je regardais ma bite dont personne ne c’était occupé. On se comprend vite en homme… Georges fit signe aux deux femmes et à eux trois ils me sucèrent comme jamais je ne l’avais était. Trois langues sur ma bite, mes couilles et même mon cul. Je déchargeais très vite sur mon ventre. Les trois langues me nettoyèrent rapidement… On avait bien mérité le dessert et une bonne bouteille de champagne. On prit une douche et on se remit à table. A soixante dix balai, ça marche encore, mais il faut y allez progressivement. Le Saint Honoré, plein de chantilly, fut prétexte à de mauvaises plaisanteries. De simples connaissances, on allait en savoir plus sur Georges et Marinette, qui nous avouer, n’avoir jamais eu de rapport avec d’autres personnes et jamais eu d’aventures. L’envie oui, le désir quelque fois, mais jamais plus. Elle admis se branler et faire des galipettes avec des légumes, concombres, courgettes et de belles aubergines quand elle rentrait de ses tournées… Elle était infirmière pour maisons de retraites mais à domicile, et la vue des bites de vieux, elle connaissait, mais n’avait jamais était plus loin. Alors quand l’après midi, elle était seule avant de reprendre à 18h, c’est souvent qu’elle jouissait avec ses légumes en pensant à ces bites ridées, mais parfois raides. Voilà pourquoi sa chatte était accueillante. Lui, était surveillant dans un club et quand il était seul, il rêver sur internet grace au porno. Lui c’était la branle, l’exib sur certain site de chat, voir voyeurs dans quelques pissotières en ville, mais maintenant, il n’y à plus rien.
A suivre…

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir